Fém-Plurielles.4
** Najah Bazzy, parmi les « Dix héros de l’Année » distingués par CNN
Infirmière clinicienne de son état, spécialisée dans les soins intensifs à caractère transculturel, favorisant l’humanisation du soin à travers le dialogue, l’acceptation et le respect des patients dans toute leur singularité, Najah Bazzy a véritablement l’étoffe d’une héroïne du quotidien, et pas seulement aux yeux pleins de reconnaissance des femmes et enfants pauvres de son Michigan natal.
La fondatrice de Zaman International, une organisation de bienfaisance qui depuis 1996, année de sa création, a fait naître une lueur d’espoir dans le ciel obscurci par la misère – sociale, économique, éducative et humaine – de plus de 250 000 femmes et enfants dans la région de Detroit, a eu l’honneur de faire partie des « Dix héros de l’Année » distingués par CNN, lors de la 13ème édition de sa soirée de gala.
Première femme musulmane à être mise en pleine lumière par cet événement prestigieux, devenu le point d’orgue de chaque fin d’année, à New York, Najah Bazzy a savouré l’instant de sa consécration, même si par ailleurs elle ne décèle aucun acte héroïque dans le fait de venir en aide à son prochain en souffrance.
« Les gens ont surtout besoin de voir l’espoir renaître dans leur existence et d’opportunités pour sortir de l’impasse de la pauvreté. C’est ce que nous nous employons à faire au sein de Zaman depuis plus de 20 ans », a-t-elle déclaré humblement à CNN.
Quand elle revient 23 ans en arrière, à l’époque de la création de Zaman et de l’ouverture de son premier grand hangar à Inkster, où furent entreposés des vêtements, des vivres et des meubles, Najah Bazzy sent remonter en elle le choc émotionnel et la tristesse indéfinissable qu’elle avait alors ressentis devant un bien sombre tableau : celui du dénuement total dans lequel vivait une famille de réfugiés irakiens, et de la douleur des parents face au décès brutal de leur nourrisson.
« Il n’y avait pas de réfrigérateur, pas de cuisinière, pas de berceau. … Le bébé sans vie était couché dans un panier à linge, allongé sur des serviettes blanches propres. J’étais dévastée par ce que je voyais et j’ai aussitôt décidé d’agir pour que de tels drames ne se reproduisent plus. J’ai récolté des fonds auprès de la communauté pour enterrer dignement le malheureux enfant », s’est-elle souvenue avec une émotion intacte.
Depuis deux décennies, avec une abnégation touchant au sublime, la très chaleureuse Najah Bazzy s’emploie à ce que le rose de l’espoir éclaire l’existence de femmes et d’enfants en proie au plus grand désespoir, en répondant à leurs besoins vitaux essentiels, tout en leur offrant des perspectives d’avenir.
Cette femme musulmane remarquable, dont les efforts pour éradiquer la misère et faire qu’elle ne soit plus une fatalité ont été récompensés par CNN, a indéniablement la trempe d’une héroïne du quotidien… malgré elle.*oumma.com/ dimanche 15 décembre 2019
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Royaume-Uni : 24 candidats musulmans pourraient être élus députés. Un record historique en prévision !
A l’issue du verdict des urnes, jeudi 12 décembre, la Chambre des Communes, où siègent 650 députés, aura-t-elle un nouveau visage, celui qui reflète la diversité au royaume de Sa Gracieuse Majesté ?
C’est ce que croient fermement le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB), le Muslim Engagement & Development (MEND) et le Muslim Public Affairs Committee UK (MPACUK), dont les responsables redoublent d’énergie, à la veille d’un scrutin législatif crucial, pour inciter leurs coreligionnaires à remplir leur devoir civique et à être acteurs de leur avenir.
Persuadés que le vote musulman peut, aujourd’hui encore plus qu’hier, peser de tout son poids sur la nouvelle composition du Parlement britannique, ils ont diffusé très largement une liste de 31 circonscriptions considérées comme n’étant plus des fiefs imprenables, notamment pour des candidat(e)s qui leur ressemblent, susceptibles de défendre au mieux leurs intérêts.
A la lumière d’une analyse rigoureuse de la cartographie électorale, le site The Muslim News a récemment donné raison à ces trois influentes organisations musulmanes, en révélant une liste de 24 postulants à la députation qui auraient de bonnes chances, ce jeudi, de remporter les suffrages.
24 député(e)s musulman(e)s entrant par la grande porte dans le prestigieux Palais de Westminster, outre le fait que ce serait un scénario des plus enthousiasmants, cela constituerait une victoire historique pour la minorité musulmane de l’autre côté de la Manche.
Ainsi, sur 33 candidats musulmans défendant les couleurs du Parti travailliste (Labour Party), 16 tiennent actuellement la corde devant leurs plus sérieux rivaux, tandis que dans le camp conservateur de Boris Johnson (Tory party), six candidats musulmans sont bien placés pour damer le pion à leurs adversaires.
Enfin, deux prétendants musulmans issus des rangs libéraux-démocrates (Lib Dems) sont d’ores et déjà donnés gagnants d’une élection législative décisive, dont on peut avancer qu’elle redessinera les contours de la Chambre des Communes, et pas seulement politiques…*oumma.com/ 10 décembre 2019
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*L’Américano-palestinienne Linda Sarsour élue “femme de l’année” 2017- par le magazine Glamour
**De bête noire de l’ère Trump, où le racisme d’Etat plein de morgue le dispute à la bêtise humaine abyssale, à « femme de l’année » mise à l’honneur par le magazine Glamour, il n’y avait qu’un pas que l’Américano-palestinienne, Linda Sarsour, a franchi en beauté.
Sous son voile frémissant de convictions, cette activiste musulmane très connue à Brooklyn, devenue le visage de la contestation contre l’accession au pouvoir du magnat new-yorkais de l’immobilier, notamment lors de la Marche des Femmes à Washington, le 21 janvier 2017, est l’incarnation de la femme d’exception aux yeux du célèbre magazine américain, aux plus de 2 millions d’exemplaires vendus par mois.
Lauréate d’un prix automnal prestigieux, récompensant non pas le « glamour » mais la fibre militante, l’âme de pionnière, la volonté de changer les regards et le cours des choses qui caractérisent des personnalités triées sur le volet, Linda Sarsour se retrouve propulsée en couverture de Glamour, aux côtés de trois autres heureuses candidates.
Plus habituée à monter à la tribune pour prononcer de vibrants plaidoyers en faveur des droits des femmes musulmanes et de couleur, ou à s’illustrer à New York au cours d’une opération « coup de poing », en formant une grande chaîne humaine au pied de la vertigineuse et très bling-bling “Trump Tower” pour dénoncer un mandat de sinistre augure, la combative Linda Sarsour est moins rompue à poser devant l’objectif pour la gloire…
Celle qui fut la révélation de l’impressionnante Marche des Femmes à Washington, s’imposant comme un tribun hors pair devant près de 500 000 personnes galvanisées par son discours exhortant au vivre-ensemble, au cœur d’une Amérique intrinsèquement plurielle, a ainsi rejoint le club fermé des femmes américaines voilées mises en pleine lumière sur papier glacé.
Son puissant discours prononcé lors de la Marche des Femmes à Washington
« Beaucoup de nos communautés, dont la communauté musulmane, ont souffert en silence au cours de ces 15 dernières années sous l’administration Bush et l’administration Obama. Vous êtes la conscience des Etats-Unis. Nous sommes la boussole morale de cette nation », a-t-elle martelé devant un public captivé et sous le regard admiratif de ses enfants, avant de lancer un vibrant appel à l’unité entre les minorités marginalisées, stigmatisées et discriminées au pays de l’oncle Sam.**source: oumma.com / 20 novembre 2017
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Etats-Unis : Ilham Omar, la première élue musulmane au Congrès, en couverture du Time
Dans l’Amérique tombée aux mains de l’oligarchie « trumpienne » pleine de morgue, la mise à l’honneur par le prestigieux magazine Time de Ilhan Omar, la première parlementaire musulmane à siéger sous la coupole du Capitole, est une consécration d’autant plus marquante qu’elle fait un joli pied de nez au retour en force du suprémacisme blanc et du racisme sous toutes ses formes chez l’oncle Sam…
Sur le long chemin qu’elle a parcouru, depuis son enfance passée à fuir la guerre civile en Somalie, passant d’un camp de réfugiés à un autre, avant de graver son nom dans l’histoire de la politique américaine, la digne représentante des sans-voix et sans-grades du Minnesota, sa terre d’asile, aura fait tomber bien des barrières au fur et à mesure de son irrésistible ascension sur la scène publique.
Le Time, sentant l’engouement grandir autour de la charismatique Ilham Omar, ne s’y est d’ailleurs pas trompé en la mettant en couverture de son numéro spécial inaugural du 18 septembre, celle-ci se voyant érigée en icône d’un renouveau féminin en marche, résolu à agir pour changer le monde.
Classée parmi les 45 femmes « briseuses de tabous et de plafonds de verre » pour la bonne cause, dûment sélectionnées par le magazine américain, l’ancienne réfugiée somalienne à qui son regretté grand-père, Baba Abukar, transmit très tôt le virus de la politique, au sens noble du terme, est le premier visage féminin d’une série intitulée « Firsts » qui en présentera 12 au total.
« Notre objectif avec Firsts, c’est que les femmes que nous mettons en pleine lumière soient une source d’inspiration pour leurs congénères, afin de les convaincre qu’il est possible de grimper dans l’échelle sociale, de relever de grands défis et que, d’en haut, la vue est spectaculaire », a expliqué le magazine en préambule.
Qui mieux que l’exemplaire Ilhan Omar, la première élue voilée de la Chambre des Représentants et bâtisseuse de ponts dans l’âme, peut incarner ce modèle à suivre pour toute une génération d’Américaines, qu’elles soient musulmanes ou non musulmanes ?
Linda Sarsour, l’activiste américano-palestinienne qui s’était illustrée lors de la Marche des Femmes anti-Trump à Washington, le 21 janvier 2017, à travers un vibrant plaidoyer en faveur des droits des citoyennes musulmanes et de couleur, a fait part de son admiration sur Twitter : « C’est puissant et superbe ».
**source: oumma.com / 11 septembre 2017
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*Une étudiante américaine voilée élue « jeune femme la mieux habillée » de son université
**Elle ne prétendait à aucune couronne de beauté, ni à aucune distinction particulière pour son élégance naturelle, la très raffinée Abrar Shahin, une étudiante américaine voilée du New Jersey, n’en revient toujours pas d’avoir été consacrée la « jeune femme la mieux habillée » de la Clifton High School, se croyant hors concours sur un campus universitaire où les tenues affriolantes des pompom girls et des fashionistas remportent habituellement la mise.
*Pourtant, c’est bien elle qui s’est vu décerner la palme de l’esthétisme là où le culte du corps et du paraître est sacralisé, et le port du voile jugé éliminatoire… Le soin particulier apporté au choix de ses vêtements dissimulant les formes, à la fois chics et modestes, mariant harmonieusement tradition et modernité, a contrasté heureusement avec le monde environnant aux yeux du jury conquis de l’Université, qui en a fait, à son insu, sa reine incontestée du bon goût en matière d’habillement.
* »C’est incroyable !« , s’est exclamée Abrar Shahin à l’annonce de son titre de gloire. « Comment aurais-je pu m’attendre à cela, alors que je suis voilée et que je porte des vêtements couvrants, et que l’on sait pertinemment que ce sont les pompom girls et les filles très populaires qui sont chaque année en concurrence pour ce titre. Oui, c’est une très grande surprise, et j’y vois surtout une formidable évolution des mentalités envers les filles qui portent le hijab« , a-t-elle commenté à chaud dans un entretien accordé à la presse locale. »Nous apprécions par-dessus tout ses toilettes soignées et pleines de pudeur, alors qu’une certaine désinvolture et tendance à l’exhibitionnisme règnent parmi les jeunes filles. Elle méritait d’être citée en exemple« , a déclaré Lindsey Cinque, un professeur de français, membre du jury, qui estime que le port du voile n’est nullement rédhibitoire.
*Elle ne briguait aucun diadème convoité par d’autres, et n’était en concurrence avec personne, mais son style unique, inimitable a fait toute la différence, surclassant des étudiantes très en vue qui étaient loin de la considérer comme leur plus sérieuse rivale, Abrar Shahin fait aujourd’hui figure d’égérie pour nombre de femmes musulmanes américaines, notamment celles qui évoluent dans le monde de la mode. Comme Sonya Nasser, gérante de Arabelle Couture, elles sont nombreuses à déceler dans son élection un bon présage : « Cette élection inattendue est une fort agréable surprise qui prouve que les temps changent. Elle envoie un signal fort, selon lequel nous, femmes musulmanes, sommes en mesure de définir les tendances et d’être respectées pour ce que nous représentons », a analysé cette dernière, en se projetant confiante dans l’avenir.*source: oumma.com- 30 juin 2015
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*Martine Aubry rejette l’expression “guerre de civilisation” utilisée par Valls
*Après les attentats sanglants de vendredi en Egypte, Manuel Valls a mis en garde dimanche les Français contre « une menace terroriste majeure », s’inscrivant dans « la durée », utilisant pour la première fois l’expression controversée de « guerre de civilisation » face au « terrorisme » islamiste. La maire de Lille, Martine Aubry, a jugé que l’utilisation de ce terme n’était pas pertinente: « Je ne suis pas d’accord avec ces propos (…) Je pense qu’on ne peut même pas imaginer que ces fous fassent partis d’une civilisation. La civilisation, ce sont des valeurs. C’est une trace laissée dans l’humanité. Ce sont des hommes et des femmes qui justement se battent contre toute forme de civilisation. »
Pour Jean-Luc Mélenchon, Manuel Valls “pousse à la guerre” contre l’islam
Loin des ors de la République, Manuel Valls, le Premier ministre déchu de l’ère Hollande qui s’efforce de ne pas sombrer dans les oubliettes sur son strapontin de l’Assemblée nationale, a fait de l’islam son fonds de commerce, plus vindicatif que jamais sous son bouc qui masque mal son opportunisme sans foi ni loi.
C’est dans son Espagne natale que l’ancien locataire de Matignon, dont la féroce croisade anti-voile le fait davantage suer à grosses gouttes que briller d’intelligence, a distillé son venin, lors d’une conférence organisée par le quotidien ibérique El Pais.
Le député de la 1ère circonscription de l’Essonne, sorti vainqueur des urnes sans gloire, et plus grave encore, de manière très litigieuse, a martelé que la France a un « problème » non seulement avec « l’islamisme et l’intégrisme religieux », mais aussi avec « l’islam » tout court, et son corollaire, avec les « musulmans ».
Ces mots dégoulinant de populisme et transpirant l’islamophobie toute « vallsienne » ont heurté les oreilles de Jean-Luc Mélenchon, son ennemi juré. Ce dernier est en effet sorti de la réserve qu’il s’était imposé, après une violente passe d’armes par médias interposés avec l’ex-maire d’Evry dont la victoire contestée aux dernières législatives face à Farida Amrani, candidate de la France insoumise, fait toujours l’objet d’un recours. Une victoire sur laquelle pèse l’épée de Damoclès de l’annulation.
Tout ceci est « écœurant et très politicien », fustige le leader de la France insoumise, ce vendredi 24 novembre, dans les colonnes du Parisien. « Il essaye d’hystériser l’élection partielle dans la 1ère circonscription de l’Essonne au cas où elle serait annulée. Je pense qu’il est entré dans une logique dangereuse pour le pays. Maintenant, il pousse à la guerre contre une religion. C’est une position d’extrême droite », riposte-t-il vertement.
De quoi donner des sueurs froides à Manuel Valls, l’ancien Premier ministre de la Hollandie « éternellement lié à Israël », vociférant et ruisselant de sueur sur la scène publique…*source: oumma.com / 24 novembre 2017
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Etats-Unis : une styliste voilée se distingue dans un grand concours télévisé de mode
Tout à sa joie de faire partie des stylistes mis en pleine lumière sur le plateau de l’émission « Project Runway », l’Américaine de confession musulmane, Ayana Ife, 27 ans, exultait à l’idée de se mesurer à la fine fleur des créateurs de mode et de promouvoir, devant des milliers de téléspectateurs, la mode dite « modeste » qu’elle revisite avec talent.
Mais elle était loin d’imaginer que sa présence à l’écran allait susciter l’engouement spontané du public féminin musulman, au point de l’ériger en icône avant même de la consacrer prescriptrice de tendances « islamiquement correctes »…
Sous les feux de la rampe depuis le 17 août, date du lancement de la nouvelle saison de cette compétition faisant la part belle à la haute couture, la jeune femme, née à Brooklyn et originaire des Caraïbes, a dû se pincer pour y croire quand Heidi Klum, le célèbre top model et guest star du show, s’est exclamée devant les caméras : « Bonjour les stylistes ! ».
« Je me suis dit alors : ‘Oh, mon Dieu, ça y est, je suis dans le spectacle ! Je passe à la télévision en direct et devant l’Amérique ! », a confié la deuxième candidate musulmane à défendre ses chances lors de ce grand concours télévisé, fière de porter haut les couleurs de Salt Lake City, dans l’Utah, où elle s’est installée avec sa sœur il y a deux ans et compte de nombreux amis mormons.
« C’était vraiment l’expérience la plus folle et la plus surréaliste de ma vie ! », s’enthousiasme-t-elle, en ne cachant pas qu’elle est fortement impressionnée par l’effervescence qui s’est créée autour de sa personne sur les réseaux sociaux, alors même qu’elle n’avait qu’un seul objectif en tête en postulant à ce programme : s’en servir de tremplin pour sortir sa première collection « modeste », portant sa griffe.
Ayana Ife veut bien qu’on l’acclame et la couvre de fleurs, mais essentiellement pour la qualité de sa ligne de vêtements mariant modernité et élégance, la pudeur en plus, susceptible de plaire à son coeur de cible prioritaire, les femmes musulmanes, mais aussi à toutes les autres femmes, sans exclusive.
Hissée sur le piédestal d’ambassadrice par de nombreuses admiratrices qui se réjouissent d’être « aussi bien représentées sur le petit écran », la jeune styliste qui monte dans l’Amérique de Trump n’en est pas moins très touchée par les encouragements, les éloges et les marques d’affection qui affluent sur le Net, se disant « honorée de servir d’exemple à ses petites sœurs ». « Vivez vos rêves ! », clame-t-elle, en faisant le serment de représenter sa communauté de la plus belle manière qui soit, éclairée dans sa démarche créative par une lumière infiniment plus chaude et intense que celle des projecteurs.
Dans nos sociétés occidentales pétries de contradictions, minées par la résurgence de vieux démons et la propagation du fléau de l’islamophobie, l’industrie de la mode échappe miraculeusement à l’emprise de l’instrumentalisation de la haine, intégrant le voile dans ses collections de haute couture, faisant défiler des mannequins voilés lors de ses Fashion weeks très courues, et incitant les stylistes musulmanes prometteuses à donner libre cours à leur créativité.
L’émission « Project Runway » s’inscrit dans cette droite ligne, en offrant à Ayana Ife une chance inespérée de montrer toute l’étendue de son savoir-faire en matière de mode « modeste ». Une mode de plus en plus prisée à travers le monde qui, n’en déplaise à ses farouches détracteurs, notamment du Tout-Paris politico-médiatico-mondain, est à l’avant-garde des tendances et vaut son pesant d’or…*source: oumma.com / 28 août 2017
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**Enseignement supérieur : pourquoi 87 000 bacheliers restent sans affectation
*15/07/2017 / .la-croix.com
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Melania Trump impitoyable avec les épouses de Donald Trump
Avant de rencontrer Melania, Donald Trump a été marié deux fois. Deux précédentes unions qui appartiennent au passé, comme elle l’a expliqué dans une interview au magazine Tatler donnée l’année de son mariage.
L’art d’évincer ses rivales. Avant de tomber sous le charme du top slovène et de demander sa main, Donald Trump avait déjà épousé deux femmes avant Melania. Ivana Zelnickova, ancienne championne de ski tchécoslovaque et mannequin, mère de ses trois premiers enfants : Donald Jr, Ivanka et Eric. Puis, en secondes noces, l’actrice Marla Maples, qui lui a donné une fille prénommée Tiffany. Deux mariage, deux divorces, et une nouvelle union célébrée en 2005 dans une église de Palm Beach en Floride, avec l’actuelle First lady.
A l’époque la rumeur court que les deux ex-femmes auraient été invitées au mariage… Une information à laquelle Melania Trump avait rapidement coupé court lors d’une interview avec nos confrères du magazine Tatler en 2005. « Qui inviterait des ex-femmes à son mariage ? Ce n’est pas approprié« a-t-elle jugé d’une voix grave. Puis d’ajouter avec franchise : J’ai fait les invitations (…) Elles n’ont jamais été invitées ». Preuve que les relations entre Ivana et Melania n’ont jamais été franchement cordiales. Et cette petite phrase prononcée à l’époque par l’actuelle first lady ne devrait pas arranger les choses.« Je n’ai pas de contact avec ses ex-femmes (…) C’est notre tour aujourd’hui. Je sais qui je suis, j’ai ma propre vie et j’espère qu’elles ont aussi leur propre vie. C’est le passé ». Circulez donc, il n’y a rien à voir. Celle qui a également donné un fils à Donald Trump prénommé Barron compte bien régner seule sur le coeur du président des Etats-Unis.


Mais la comparaison entre les trois femmes est inévitable… Pour Donald Trump, ses »précédentes épouses étaient toutes les deux formidables et très différentes ». « Dans un sens, Melania et Ivana sont semblables – européennes, fortes, intelligentes, avec de belles jambes. Marla est intelligente, mais… d’une manière différente » avait commenté le président américain avec le tact qu’on lui connaît. Ivana, Marla, Melania, des prénoms qu’il aurait pu confondre, au risque de provoquer la colère de l’une d’entre elles ? « Non, heureusement » avait-il lâché à ce sujet en rigolant. Pas certain que cette plaisanterie fasse rire la First lady…
*source: gala.fr/ mercredi 15, Juillet, 2020
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