*Dans certaines écoles, les codes vestimentaires peuvent être particulièrement stricts
Un changement pour mettre un terme au body shaming

Dans certaines écoles, les codes vestimentaires peuvent être particulièrement stricts, et les jeunes femmes doivent parfois éviter de montrer leurs épaules ou de simplement mettre un legging si elles veulent éviter de devenir les victimes de body shaming. Aussi est-ce la raison pour laquelle une école de l’Illinois, Evanston Township High, a décidé de changer son code vestimentaire pour aider les étudiants à se sentir mieux dans leur peau.Ce code vestimentaire, qui se veut être « un soutien à une éducation équitable » et qui est écrit de manière à ne pas « renforcer les stéréotypes, la marginalisation et l’oppression d’un groupe fondé sur la race, le sexe, l’identité de genre, l’orientation sexuelle, la religion, etc. » autorise ainsi les élèves à porter ce qu’ils veulent, à quelques exceptions près. Les organes génitaux, les fesses, les seins et les tétons doivent ainsi être recouverts « de tissu opaque », et les vêtements qui portent des messages violents et de haine, des images violentes et/ou d’alcool et de drogues doivent, eux, être proscrits. Enfin, les accessoires qui peuvent être dangereux ou servir d’armes doivent également être bannis, de même que tout accessoire qui recouvre le visage ou les oreilles – à l’exception de ce qui relève de la religion. « C’est un acte révolutionnaire de récupérer nos corps comme étant nos corps, et non pas une ‘distraction’ ou quelque chose dont nous devrions avoir honte », a ainsi écrit Marjie Erickson, une ancienne étudiante de l’Evanston Township High qui a participé à la réécriture de ce code. « C’est notre protection contre le fait d’être pénalisé à cause de la perception de quelqu’un d’autre sur notre corps, ainsi que sa perception de ce qui est approprié et respectable ». Une initiative qui a été brillamment accueillie par les internautes.*7sur7 – 6 septembre 2017

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Les boissons sucrées vont disparaître des écoles secondaires de l’UE

La fédération européenne des boissons rafraîchissantes (UNESDA) ne vendra plus de boissons contenant des sucres ajoutés dans les écoles secondaires de l’Union européenne, a-t-elle indiqué cette semaine dans un communiqué. L’engagement pris par la fédération sectorielle -qui regroupe entre autres les marques Coca-Cola, Fanta, Oasis, Schweppes ou Sprite- sera mis en place progressivement dans les 28 Etats membres de l’UE. Fin 2018, la vente de boissons sucrées dans les écoles secondaires devrait définitivement faire partie du passé.*médias/ vendredi 08 septembre 2017
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