clin d'œil féminin

Beaucoup de préjugés, de prétentions, de divagations et de mensonges ont désorienté les femmes et les hommes

La première femme élue maire de Tunis

Classé dans : actualité,culture,femme,société — 3 juillet 2018 @ 18 h 50 min

**Femmes algériennes et autres –31

*****************************************************

Ahed Tamimi et sa mère enfin libres!

La première femme élue maire de Tunis  dans actualité ahed-tamimi-et-sa-m%C3%A8re-758x428

29 juillet 2018

Ce dimanche 29 juillet, au petit matin et presque en catimini, les portes de la prison israélienne où croupissaient, depuis le 19 décembre dernier, sans jamais se voir, Ahed Tamimi, 17 ans, et sa mère Nariman, se sont enfin ouvertes, les libérant des chaînes de l’arbitraire dans lesquelles le tribunal militaire d’Ofer, aux ordres, les a maintenues de longs mois durant pour venir à bout de leur farouche résistance.

« Elles viennent de quitter la prison », a déclaré laconiquement le porte-parole du centre de détention, Assaf Librati, au micro de l’AFP, tandis que des informations contradictoires circulaient sur l’endroit précis, en Cisjordanie occupée, où la désormais célèbre jeune héroïne du village de Nabi Saleh et sa courageuse maman, une résistante de la première heure à l’occupation israélienne, allaient être relâchées.

ahed-tamimi-6-300x225 dans culture

Propulsée sur le devant de la scène internationale et hissée sur un piédestal de manière fulgurante, à la faveur d’une vidéo marquante qui a fait le tour du monde en un éclair, Ahed Tamimi, en administrant une gifle cuisante à un soldat israélien au cours d’un 15 décembre 2017 de triste mémoire, est devenue la figure iconique de la lutte du pot de terre contre le pot de fer, en Palestine et à travers le monde.

Elle était alors sous le choc de l’annonce de la grave blessure à la tête infligée à son cousin de 14 ans, Mohammed, par le tir délibéré d’un sniper israélien. Son jeune cousin qui, depuis, a été incarcéré sans ménagement et sans soins par la soldatesque israélienne.

« La résistance continuera jusqu’à la fin de l’occupation ». Ces premiers mots prononcés par une Ahed Tamimi submergée par l’émotion, alors qu’elle venait de retrouver l’affection des siens, ont laissé percevoir une détermination inébranlable, exceptionnelle à un si jeune âge, que ses 8 longs mois d’emprisonnement, rythmés par des interrogatoires musclés, n’ont pas réussi à infléchir et encore moins à briser.

Elle devrait tenir une conférence de presse dans le courant de la journée, chez elle, dans son village où elle manquait à l’appel depuis une certaine nuit du mois de décembre, lorsqu’elle fut brutalement arrachée à sa famille, sur le coup de 4 heures du matin.

S’il est le premier à se réjouir de sa relaxe, Omar Shakir, le directeur de l’ONG Human Rights Watch en Israël, tient à ce que cet heureux dénouement n’occulte pas pour autant le sort effroyable de centaines d’autres enfants palestiniens, toujours derrière les barreaux et dont les droits sacrés sont piétinés quotidiennement.

« Ahed Tamimi est libérée, mais des centaines d’enfants palestiniens restent derrière les barreaux et ne bénéficient d’aucune attention », a-t-il déploré ce matin, en dénonçant les « mauvais traitements endémiques » subis par les mineurs dans ce système oppressif d’une cruauté sans nom.

Un système israélien oppressif qui n’a pas vu d’un bon œil que le mur de la honte érigé par ses soins soit recouvert d’un portrait géant à la gloire d’Ahed Tamimi, sous les coups de pinceau de deux artistes particulièrement inspirés, l’un italien, l’autre palestinien. Ils ont été tous les deux arrêtés au cours de ce même dimanche matin très contrasté, qui a vu le sujet de leur fresque murale remis en liberté, tandis qu’ils étaient menottés et forcés de monter dans un fourgon de l’armée d’occupation. **oumma.com/29 juillet 2018

Ahed-Tamimi-portrait-g%C3%A9ant dans femme

***********************************************************

*L’ONU condamne la France pour « discrimination envers les femmes musulmanes »

en raison de son voile, Fatima Afif a été licenciée de son travail !

Selon une information de L’Obs  vendredi 24 août 2018, le Comité des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies a donné raison à la salariée voilée, Fatima Afif, licenciée en 2008 par la crèche Baby-Loup de Chanteloup-les-Vignes dans les Yvelines.

Cette crèche privée atypique (ouverte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7) avait fait parler d’elle dans le conflit qui l’opposait à une ex-salariée licenciée fin 2008 parce qu’elle refusait d’ôter son voile au travail à son retour de congé parental. Après plus de cinq ans de feuilleton judiciaire, la Cour de cassation avait confirmé en juin 2014 le licenciement pour faute grave de Fatima Afif.

Après avoir épuisé toutes les voies de recours devant les juridictions internes, les représentants de Fatima Afif, les avocats Claire Waquet et Michel Henry, avaient finalement déposé une requête le 18 juin 2015 auprès du Comité des droits de l’homme de l’ONU, explique L’Obs.

Les experts indépendants du Comité ont rendu leur décision le 10 août 2018, condamnant la France pour violation des articles 18 et 26 du pacte international relatif aux droits civils et politiques, c’est-à-dire pour atteinte à la religion et discrimination en raison de la religion et du genre.

Le Comité relève que le port d’un foulard islamique ne pouvait être considéré comme « un signe extérieur fort » ou « ostentatoire » et « constitutif d’un acte de prosélytisme ».

Dans sa décision, le Comité somme par ailleurs l’Etat français de rendre publiques ces constatations (ce qui n’a pas encore été fait) et de proposer une indemnisation à la plaignante sous 180 jours, tout en prenant « toutes les mesures nécessaires pour prévenir des violations similaires à l’avenir ». Tous ces éléments donnent à cette condamnation une grande valeur en termes de jurisprudence.

Invoquant des « pressions », la crèche Baby-Loup avait par ailleurs dû déménager fin décembre 2013 pour rouvrir trois mois plus tard dans la commune de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).*huffingtonpost.fr / vendredi 24 août 2018

********************************************************

Cette étudiante a stoppé un avion pour empêcher l’expulsion d’un demandeur d’asile

 dans société

Lundi 23 juillet, une étudiante suédoise de 21 ans a embarqué à bord d’un avion à destination d’Istanbul afin de faire descendre un demandeur d’asile afghan, menacé d’expulsion. La jeune femme, qui est finalement parvenue à ses fins, a filmé l’intégralité de la scène avec son téléphone et a diffusé les images sur Facebook.

Penser qu’on ne peut pas militer à notre petit niveau pour changer le monde ou défendre les valeurs qui nous tiennent le plus à coeur n’est pas toujours fondé. La Suédoise Elin Ersson, qui étudie à Göteborg, vient de nous le prouver. Pour empêcher l’expulsion d’un demandeur d’asile afghan de 52 ans, la jeune femme a pris un billet pour le vol Göteborg-Istanbul et est montée dans l’avion au bord duquel le migrant afghan devait voyager.

Une fois à bord, la jeune femme a refusé de s’asseoir et a tenu tête à tout l’équipage de bord : « tant que quelqu’un est debout, le pilote ne peut pas décoller », explique-t-elle dans une vidéo filmée depuis son smartphone et diffusée en direct sur Facebook.

« Je ne m’assiérai pas tant que cet homme ne sera pas descendu de l’avion »

« Je ne m’assiérai pas tant que cet homme ne sera pas descendu de l’avion car il sera probablement tué s’il reste dans cet avion », clame Erlin Erisson, faisant de son mieux pour ignorer les propos injurieux et le comportement de passagers qui commencent à s’impatienter et à essayer de lui prendre son téléphone.
« Je ne veux pas que la vie d’un homme soit prise simplement parce que vous vous inquiétez de rater votre vol… », explique-t-elle calmement à un membre de l’équipage, qui la somme d’éteindre son smartphone. D’autres passagers prennent en revanche son parti et se lèvent à leur tour en guise de soutien.

Une dizaine de minutes plus tard, l’étudiante obtient gain de cause : un steward va à sa rencontre et lui assure que l’avion va ouvrir ses portes : « nous allons vous faire descendre et ce passager ne voyagera pas », lui assure l’homme.

Submergée par l’émotion, la jeune femme peine à retenir ses larmes et explique que, tout comme elle, le passager afghan de 52 ans va pouvoir descendre de l’appareil. À cette annonce, les passagers l’applaudissent en masse.

À la suite de cet événement, le demandeur d’asile a été placé en détention par les autorités suédoises. Si son expulsion a été maintenue, elle a cependant été repoussée.

Visionnée plus de 50 000 fois, la vidéo d’Elin Ersson a largement été relayée et les internautes sont nombreux à saluer l’initiative et le courage de cette jeune femme, bien déterminée à « faire changer les règles » de son pays.

Confrontée à une montée en puissance de l’extrême droite -donnée favorite aux élections législatives suédoises qui se dérouleront en septembre- la Suède a considérablement durci ces politiques d’immigration ces dernières années.

Après avoir accueilli 1.649 demandeurs d’asile pour 100.000 habitants en 2015 (contre 114 pour la France la même année), ce pays nordique a expulsé 12 500 personnes de son territoire en 2017. / terrafemina / jeudi 26 juillet 2018

*****************************************

Je rêve donc je suis - 29/07/2018

*Vidéo: Je rêve donc je suis

*Pauline Clavière proposera chaque dimanche, dès le 15 juillet 2018, Je rêve donc je suis : une personnalité se raconte à travers ses rêves. Un entretien où les songes et l’imaginaire éclairent une oeuvre et une vie.*europe1.fr/ 29 juillet 2018

**************************************************************

* à 12 ans déjà, je me préparais au pire

*J‘aurais aimé que l’on me conseille ces œuvres quand j’avais 12 ans

***À 12 ans, je nourrissais encore le rêve fou de «devenir quelqu’un» et je vivais dans un monde de romans dont je n’avais pas encore réalisé qu’ils ne voulaient pas de moi. J’allais être plongée dans un monde d’hommes et, malgré moi, je m’y préparais. *cliquer ici: Plumes de femmes

Image associée

***dans la même page

Résultat de recherche d'images pour "geometrie"

Tricoter pour enseigner les mathématiques

Sara Jensen — 30 août 2018 à 16h59 — mis à jour le 31 août 2018 

On associe trop souvent les mathématiques au calcul, alors que leurs vrais enjeux, pensée critique et résolution des problèmes, peuvent être accessibles à tous. Il suffit du bon outil de médiation.

En tricotant eux-mêmes écharpes et bonnets, les élèves découvrent la géométrie sous un autre angle. | Photo Foundry via Pixabay CC0

**En tricotant eux-mêmes écharpes et bonnets, les élèves découvrent la géométrie sous un autre angle.

*********************************************************

31,8 % des personnages de films américains étaient des femmes en 2017

Seuls 31,8 % des personnages de films de 2017 sont des femmes. C’est le résultat d’une étude menée par la fondation Annenberg-USC, think thank spécialisé dans la diversité et l’inclusion au États-Unis. Conclusion : le profil majoritaire des protagonistes au cinéma reste inchangé.

D’autres chiffres issus de cette étude sont aussi éloquents : les stéréotypes persistent au cinéma puisque 28,4 % des actrices apparaissent à l’écran en tenue sexy, et 25,4 % en situation de nudité. Et ce n’est pas mieux de l’autre côté de la caméra, puisque l’on ne dénombre que 43 réalisatrices pour 1 100 films produits entre 2007 et 2017.

Le manque de diversité au cinéma ne s’arrête pas aux femmes car l’étude indique que 70,7 % des personnages sont blancs alors que les Noirs et Africains-Américains, les Asiatiques, les Hispaniques et latino-américains sont sous-représentés.

Stacy L. Smith, co-auteure du rapport cité par Variety, se veut pourtant optimiste :

J’ai bon espoir que grâce à Time’s Up et à d’autres mouvements, 2017 sera la dernière année affichant de tels chiffres. Il faut que les gens se réveillent et adoptent un point de vue plus ouvert.”

*courrierinternational.com / 02 aout 2018

***************************************************

Souad Abderrahim, première femme élue maire de Tunis 

7805337_3af2c2e2-7eab-11e8-94b6-fc48b78d4772-1_1000x625

La candidate du parti Ennahdha, en tête des élections municipales de mai dernier, a été élue maire de Tunis mardi  03 JUILLET 2018

Une femme à la tête de la capitale d’un pays arabe est déjà un événement inédit. Alors que dire si elle est soutenue par une formation islamiste réputée pour son conservatisme ! Pourtant, Souad Abderrahim, élue maire de Tunis ce mardi, était bien la candidate soutenue par les islamistes d’Ennahdha. Et ce mardi, la pharmacienne de 53 ans au look moderne, qui tranche avec le conservatisme de son parti, a été élue après deux mois de tractations. Ennahdha avait obtenu 21 sièges sur 60 au scrutin municipal au suffrage universel de mai dernier, premier du genre depuis la chute de l’autocrate Ben Ali.

Souad Abderrahim, qui fréquente depuis des années les islamistes, a de longues années de militantisme à son actif. Dans ses années étudiantes, elle ferraille au sein au sein de l’Union générale tunisienne des étudiants (UGTE), proche des islamistes, contre les rivaux de gauche de l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET), qui s’opposent malgré leurs sigles quasi identiques. « Elle avait déjà un fort tempérament et un caractère de chef », se rappelle le politologue du Centre arabe d’analyses et de recherches politiques et sociales de Genève Riadh Sidaoui, qui l’a côtoyée pendant ses années universitaires.

L’UGTE, accusée d’être le bras des islamistes d’Ennahdha au sein des universités, sera finalement dissoute en 1991 par le président Ben Ali. Sans cacher ses sympathies pour les islamistes, Souad Abderrahim, qui revendique son côté moderne et libéral, abandonne le voile au bout de quelques années.

Un retour en force après la chute de Ben Ali

Et pendant le long règne du potentat, jusqu’à la révolution populaire de 2011, l’activiste fait profil pas et se consacre à son nouveau business de vente de produits pharmaceutiques. La politique la rattrape à la chute de Ben Ali : elle entre aussitôt au Parlement sous l’étiquette Ennahda. « Elle fait partie des islamistes latents, ils se retirent pendant la tempête et reviennent en force dès que l’occasion est favorable », souligne Riadh Sidaoui.

Ses propos de 2011 sur les libertés qui doivent être « encadrées par les coutumes, les traditions et le respect des bonnes mœurs » avaient choqué les défenseurs des droits de l’homme. Alors, pour tenter de retrouver une image de femme moderne, Souad Abderrahim s’est excusée et revendique depuis des « idées libérales et réformatrices », avec un programme électoral axé sur la proximité avec les citoyens. La nouvelle députée brigue et obtient aussi la présidence de la commission sur les droits de l’Homme et les libertés.

Aujourd’hui, les regards du pays et du monde entier sont tournés sur Tunis, dont la maire a été élue pour la première fois démocratiquement et pas nommée par des notables locaux. Pour cet enjeu capital, « présenter une femme candidate était un coup politique pour Ennahdha : c’était une bonne affaire pour son image à l’intérieur mais aussi à l’extérieur du pays », analyse Hasni Abidi, directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen. « C’est la stratégie d’Ennhadha de présenter des vitrines libérales pour montrer qu’ils ne sont pas radicaux », précise Riadh Sidaoui.

Pour l’emporter, Souad Abderrahim a du composer avec les réticences du parti libéral Nidaa Tounès, allié de gouvernement avec Ennahdha et fort de 17 sièges au conseil municipal de Tunis. Certains de ses caciques estiment qu’elle n’est qu’une devanture des islamistes. « Mais ça n’aurait pas été bon pour l’image du parti de s’opposer à une femme, surtout vu son profil moderne », estime Hasni Abidi. Au final, la nouvelle élue a obtenu 26 voix contre 22 pour Kamel Idir, le candidat de Nida Tounès.

Malgré les embûches, la militante qui soigne ses tenues vestimentaires modernes et occidentales n’a jamais reculé pour obtenir ce poste très convoité, vitrine à l’international. Mais certains de ses opposants voient aussi dans cette élection un tremplin politique pour les prochaines élections législatives de 2019. Riadh Sidaoui précise : « Ils craignent une islamisation par le bas comme en Turquie, avec Erdogan qui a été maire d’Istanbul avant de devenir président ».

Dans les tractations qui se sont éternisées depuis les élections de mai, une chose n’a pas bougé, au profit de Souad Abderrahim : les 21 élus d’Ennadha, disciplinés, ont fait bloc derrière elle. Même si la base du parti, plus radicale, « ressent un certain malaise », selon Riadh Sidaoui. Mais le politologue ajoute : « Détenir la mairie de Tunis, l’un des maroquins les plus prestigieux et symboliques, pourrait la contenter. » *.leparisien /  mardi 03 JUILLET 2018

***************************************

Personne, quand, au tournant du siècle, Madeleine Albright dirigeait la diplomatie américaine, ne pouvait deviner que la promesse démocratique universelle allait, en quelques années, se retourner brutalement... (Ici, à la convention démocrate en 2016 à Philadelphie).

Démocraties: où en sommes-nous ? 

*un livre de Madeleine Albright 

***Fascism. A Warning est le récit, à la première personne, d’un imprévu majeur de l’Histoire. D’entrée, Madeleine Albright sollicite la mise en garde de Primo Levi, à la fin de sa vie : « Chaque époque possède son propre fascisme. » Alors, la nôtre ? Près de trois décennies après la chute du mur de Berlin, où en sommes-nous ? *cliquer ici: ELAyam-5

*************************************

Affaire Tariq Ramadan :

la juge relève des incohérences dans la version de son accusatrice Henda Ayari

Henda Ayari le 28 octobre 2017. 

**La confrontation très attendue entre Tariq Ramadan et Henda Ayari a duré, jeudi 19 juillet, plus de 2h30 dans le bureau de la juge d’instruction

Selon Le Point, H. Ayari se trouvait au mariage de son frère le soir où elle assure avoir été violée par T. Ramadan

******************************************

« Dans la rue, je ne suis pas à l’aise. »

Frappée au visage à Paris, Marie, 22 ans, témoigne

Harcèlement de rue : frappée par son harceleur, elle publie les images de son agression

****Vidéo:  Woman harassed and hit by a man in the streets of Paris [Eng/Fr]

Harcelée dans une rue du XXe arrondissement de Paris, une femme de 22 ans a été frappée au visage après avoir répondu à l’homme qui l’importunait. La vidéo de l’agression a été vue des centaines de milliers de fois sur le web. « Maintenant, quand je sors dans la rue, je ne suis pas à l’aise », témoigne Marie au micro de BFMTV.

Suivez l’actualité société et police-justice en continu sur BFMTV : emploi, justice, famille, religion, transport, sécurité, pouvoir d’achat, insolite, santé, faits divers.

BFMTV, 1ère chaine d’information en continu de France, vous propose toute l’info en temps réel avec 18h d’antenne live par jour et plus de 1000 duplex par mois. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.**- bfmtv / lundi 30 juillet 2018

***L’étudiante, qui a eu la pommette et l’arcade abîmées, bénéficie d’un jour d’ITT (interruption totale de travail) et souffre encore ce dimanche de douleurs aux cervicales. Là n’est pas l’important pour Marie. « Ce n’est plus à propos de moi maintenant, c’est à propos de toutes les femmes. Ça arrive tous les jours, les femmes en parlent. Tant que le phénomène se poursuivra, on n’en parlera jamais assez », clame la jeune femme devenue malgré elle symbole de la violence du harcèlement de rue.

*****************************************

La cofondatrice du mouvement et ex-activiste Femen Oksana Chatchko, lors d'une manifestation à Paris le 18 septembre 2012

*Oksana Chatchko, cofondatrice du groupe féministe des Femen, s’est suicidée à Paris 

****Oksana Chatchko, cofondatrice et ex-membre du groupe féministe des Femen, s’est suicidée dans son appartement à Paris à l’âge de 31 ans, a annoncé mardi Inna Chevtchenko, leader de l’organisation. « Oksana a été retrouvée hier à Paris dans son appartement. Elle s’est suicidée », a-t-elle précisé. vec trois autres militantes, Oksana Chatchko avait fondé le mouvement féministe, qui s’est fait connaître pour ses actions seins nus en avril 2008 à Kiev, en Ukraine.*médias/ 24/07/2018

1022653649

***************************************

Pas de commentaire »

Pas encore de commentaire.

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>

 

Change The World Together |
April Bowlby |
Une consultante et ses reto... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Luxotesteuse
| L'Opportuniste
| Vieillir ensemble