Le voile à Sciences Po-Paris
»Hijab Day » à Sciences Po Paris
Des étudiantes invitées à porter le « hijab » dans une grande école française afin de « démystifier » la question du voile islamique.
Redonner la parole aux femmes voilées
Une initiative invitant des étudiants à porter le « hijab » mercredi 20 avril 2016, dans une grande école française afin de le « démystifier » a suscité une nouvelle polémique dans un pays obsédé par la question du voile islamique.
Si certains étudiants saluaient une « démarche de discussions », l’initiative a suscité une forte désapprobation dans la classe politique et sur internet.Plusieurs voix dans l’opposition de droite ont manifesté leur « désapprobation » tandis que la ministre socialiste des Droits des femmes, Laurence Rossignol, a dénoncé « une forme de provocation dans cette initiative ».
Au nom de la laïcité, la France impose une stricte neutralité religieuse à l’Etat et interdit les signes religieux ostentatoires à l’école. En revanche, au nom de la liberté de conscience, le voile est autorisé dans l’enseignement supérieur, fréquenté par des adultes.*mercredi 20/04/2016 -Source: Belga
**consulter par ailleurs: Percée du hijab dans l’univers de la mode
Maman, je t’aime !
**La fête des Mères à travers le monde
La fête des Mères est une journée internationale célébrée dans plusieurs pays du monde, pour honorer et rendre hommage à toutes les mamans. La date des fêtes des mères n’est pas fixe, elle varie d’un pays à l’autre. Mais la plupart des pays célèbrent cette fête au mois de mai. Par exemple, en Espagne et au Portugal, elle est célébrée le premier dimanche de mai. Au Canada, en Belgique et en Australie, le deuxième dimanche, 08 mai. En Algérie, Tunisie, Maroc et France, la fête des Mères est célébrée le dernier dimanche du mois de mai, c’est-à-dire le 29 mai 2016.
**La fête des Mères est une fête annuelle célébrée par les enfants- grands ou petits- en l’honneur de leur mère dans de nombreux pays. Compte tenu de la longévité de la vie, cette fête est marquée également par les adultes de tous âges pour honorer leur mère. Chez les Musulmans, la mère a un statut particulier: elle doit-être vénérée presque comme un sainte. Elle ne doit jamais manquer de rien. Elle ne doit pas être abandonnée dans des auberges ou des asiles pour vieux. Un hadith du prophète rappelle que les portes du Paradis se trouvent sous les pieds des mamans. En Islam, il n’y a pas un jour pour les mères; ce sont tous les jours qui lui sont consacrés pour lui donner amour, dévouement, bonheur, respect et considération. On ne doit jamais dire »OUF » à sa maman! Ni s’adresser à elle, sur un ton élevé ou énervé! Et c’est la même chose pour les papas.
**consulter par ailleurs: cartes de voeux gratuites
Si vous n’avez pas d’argent pour lui offrir un joli cadeau, voici quelques idées de présents gratuits qui lui feront tout aussi plaisir.
- Emmenez-la prendre l’air au parc ou faites-lui découvrir un endroit qui vous apaise. Cela fait combien de temps que vous n’avez pas passer du temps rien que tous les deux?
- Faites sa lessive. Rappelez-vous de vos années estudiantines: qui lavait vos jeans sales? Maman, bien sûr! C’est le moment de lui rendre la pareille.
- Créez un album photos plein de moments heureux à consulter en ligne, à tout instant du jour ou de la nuit. A updater régulièrement pour faire durer le plaisir.
- Organisez une soirée cinéma à la maison.- Lavez sa voiture et passez un coup d’aspirateur à l’intérieur.- Dites-lui que vous l’aimez et pourquoi. Les mots d’amour sont trop rares. C’est le moment d’ouvrir votre coeur.
Une étudiante d’origine algérienne élue à la tête du plus puissant syndicat estudiantin britannique
Elle s’appelle Malia Bouattia, elle est étudiante, britannique de nationalité et algérienne d’origine, et vient d’être élue à la tête du plus puissant syndicat britannique estudiantin, National Union of Students (NUS), a annoncé vendredi 22 avril 2016, ce syndicat sur son site web.
La jeune étudiante de 28 ans, a été élue à la tête du NUS lors de la conférence nationale du syndicat. La jeune femme est très impliquée en faveur de la cause palestinienne et des droits des femmes musulmanes.
Sur sa page facebook, elle a écrit que sa mission n’allait pas se limiter aux questions syndicales estudiantines, mais qu’elle allait engager le syndicat dans la société. « Le combat de notre syndicat doit être au centre d’un combat national pour un objectif d’une vie meilleure, et note lutte doit être d’abord pour les libertés », a écrit la nouvelle élue, étudiante à l’université de Birmingham dans le Nord-Ouest du pays.
National Union of Students, présidé désormais par une native de Constantine, a été créé en 1922 et compte près de 600 associations membres.*vendredi 22 avril 2016 / Par Abbès Zineb | algerie1.com
*******Mes positions ont été délibérément falsifiées pour salir mon image
Malia Bouattia, figure emblématique du mouvement estudiantin britannique, d’origine algérienne, a été élue le 20 avril 2016, présidente de la puissante Union nationale des étudiants (NUS).
Plébiscitée par les électeurs avec 372 voix contre 328 pour sa rivale et ancienne présidente du NUS, Megan Dunn, la jeune femme de 28 ans devient ainsi la première femme musulmane à la tête du NUS. Elle prendra les rênes du syndicat en juillet prochain.
Son élection n’est pas passée inaperçue.
Connue par son militantisme en faveur de la cause palestinienne et son combat contre l’impérialisme, Malia fait face à une campagne médiatique et à des attaques au vitriol de la part non seulement de la presse britannique, mais surtout par la presse israélienne, voire occidentale, soutenue par des groupes d’étudiants de confession juive qui s’élèvent contre son élection.
En effet, Malia Bouattia est accusée notamment d’antisémitisme ainsi que de complaisance envers l’islam radical. Ce qui l’a contrainte à sortir de son mutisme pour répondre à ses détracteurs. Dans une tribune dans le prestigieux journal britannique The Guardian, Malia appelle à ne pas faire d’amalgame : «Pour moi, ne pas être d’accord avec les politiques sionistes n’est pas la même chose qu’être opposé au fait d’être juif.» Continuant son plaidoyer, la jeune Algérienne ajoute : «La condamnation de l’Etat islamique semble être devenue une justification pour la guerre et l’islamophobie.»
Et de lancer : «Je suis la nouvelle présidente du NU, et je ne suis pas antisémite ni sympathisante de l’Etat islamique.» Selon la journaliste du Guardian, Iman Amrani, «ces attaques contre la nouvelle présidente du NUS montrent la limite de la liberté d’expression pour les musulmans». Un engagement et des prises de positions qui ont valu à Malia des menaces de mort. Son entourage exprime en privé sa crainte pour son intégrité physique.
Malia ne cache pas ses ambitions politiques et promet à ses supporteurs que son action en tant que présidente de la NUS «ne doit pas se limiter au seul cadre de notre syndicat NUS, elle doit avoir des répercussions sur notre société britannique toute entière». Les politiques britanniques devront désormais composer avec la jeune rebelle algérienne.
Dans cet entretien exclusif accordé à el Watan Etudiant, Malia Bouattia revient sur son parcours et la campagne médiatique l’ayant ciblée.
*Vous avez été élue à la tête du plus important syndicat estudiantin au Royaume-Uni, en l’occurrence le NUS. Comment cela s’est déroulé ?
Mon parcours syndical a débuté avec ma candidature pour un poste de responsable en chef d’un département appelé Black Students Officer dans l’organisation estudiantine NUS pendant deux ans.
Durant ces deux années et avec l’aide de mon équipe, nous avons pu faire avancer certaines questions comme la représentation des ethnies minoritaires dans toutes les instances de l’organisation NUS, mais également nous avons sensibilisé, à travers des interventions ponctuelles au sein d’institutions liées à l’éducation, les jeunes pour les encourager à s’investir dans des rôles de responsabilité et de gestion à tous les niveaux. Notre bilan parle de lui-même lorsque nous présentons annuellement les progrès réalisés dans ce sens.
L’Association des étudiants de couleur existe depuis plus de 14 ans. Et cela a pris relativement plus de temps pour être reconnue officiellement au sein de l’Union nationale des étudiants, tout en reconnaissant cependant que d’autres campagnes de libération ont existé avec d’autres responsables estudiantins, avant nous. A titre d’exemple, l’Association des femmes (the Woman’s Compaign) existe depuis plus de 30 ans.
On peut dire que la création de cette Association des étudiants de couleur a dû se faire par force. Les étudiants de couleur du Royaume-Uni ont dû s’imposer lors de la conférence annuelle de l’union estudiantine NUS parce que sa direction avait, en ce temps-là, refusé d’en discuter en dépit des motions proposées démocratiquement.
*Quels ont été les points forts de votre «programme électoral» ?
La passion, la motivation et le sens de responsabilité, qui permettent d’unir notre mouvement, proviennent des luttes anticolonialistes à travers les pays du Sud et de la lutte continue pour l’émancipation grâce au mouvement antiraciste au Royaume-Uni. C’est aussi pour ces raisons historiques que nous employons également politiquement le terme «Noir» pour définir en tant que personnes non blanches et qui continuent d’être opprimées par la suprématie des Blancs.
Les générations plus anciennes l’ont employé comme une source de pouvoir parce que le terme «minorité ethnique» a non seulement spécifiquement mal défini nos expériences d’oppression car ce terme peut être employé pour parler des avantages ou privilèges des Blancs, mais également pourrait nous affaiblir psychologiquement et nous inciter à nous sentir inférieurs.
Donc nous luttons pour améliorer la représentation des gens de couleur dans le milieu académique. Par exemple parmi les professeurs qui sont plus de 20.000, seuls 85 sont de couleur. Au niveau des structures et des institutions estudiantines démocratiquement élues, on constate un taux étonnement faible de personnes de couleur.
Pour l’étape suivante concernant ma candidature au poste de présidente de la NUS, j’ai basé mon programme sur ma lutte au profit des étudiants, quelles que soient leur idéologie, leur religion ou leur couleur pour que, unis, nous luttions ensemble contre les coupes budgétaires du gouvernement des Conservateurs et la hausse vertigineuse des droits d’inscription aux universités. Dans ce cadre, mon équipe et moi avons eu la possibilité de soulever ces questions auprès du Parlement anglais durant les deux dernières années.
Donc nous allons poursuivre notre lutte au profit des étudiants car le secteur de l’éducation est en crise au Royaume Uni. On constate, à titre d’exemple, la fermeture de certaines filières, qui est donc suivie de réductions importantes du personnel enseignant, ce qui accroit ainsi le chômage.
Les bourses d’études pour les plus démunis ont disparu. Cette politique vise en fait à bloquer l’accès à l’université à toute une génération. Les études, qui étaient un droit pour tous, sont en train de devenir un luxe. Il faut payer cher pour étudier, donc seuls les nantis pourront le faire et le fossé ne fera que s’accentuer au fil du temps.
*Malgré vos positions politiques en faveur de la cause palestinienne et votre combat anti-impérialiste, vous êtes parvenue à rassembler autour de vous et à vous faire élire. S’agit-il d’une prise de conscience de vos camarades qui vous ont soutenue ? Ou cela obéit-il plutôt à des questions de politique intérieure ?
Lors de mon discours de candidature, j’ai mis l’accent sur la force de la NUS, qui doit être utilisée pour se faire entendre par le gouvernement et pour sensibiliser la communauté étudiante à s’unir autour des luttes pour réussir. En même temps, en effet, j’ai exprimé clairement que celles et ceux qui m’ont accusé d’être antisémite et pro-EI sont totalement dans le faux car mes positions ont été délibérément falsifiées pour salir mon image de personne engagée contre toute forme de violence, y compris contre l’EI.
Quant à l’antisémitisme, mes reproches n’ont jamais été contre le judaïsme, mais uniquement contre l’Etat d’Israël et la répression contre le peuple palestinien. Par exemple, j’ai souligné le fait qu’au sein de la NUS, je n’ai jamais eu de problème avec l’Union des étudiants juifs. J’ai donc fait une distinction nette entre mes positions politiques qui sont garanties par la loi et j’ai rejeté les accusations contre les juifs tout simplement.
En tant que citoyenne et musulmane, le Saint Coran demande de respecter les gens du Livre, à savoir les chrétiens et les juifs (Bible, Torah).
Je considère que mon élection a été le résultat du bilan de ma lutte en faveur de la communauté étudiante sans distinction de race ni de religion, lutte qui est en elle-même essentiellement politique dans la mesure où elle s’oppose à toute forme de répression, d’exclusion, de discrimination et de racisme, y compris l’antisémitisme et l’islamophobie.
*Vous avez refusé de signer une motion condamnant l’Etat islamique car, selon vous, cela ouvrirait la voie à l’islamophobie…
Je dois préciser que cette motion, dont le rejet initial a été vidé de son sens, a été en fait une reformulation du texte initial qui ciblait étroitement la communauté musulmane. Finalement, la motion reformulée condamne, entre autres, la nébuleuse EI qui répand la mort et donne une excuse à ceux-là mêmes qui condamnent les musulmans partout en Europe.
Un autre exemple de mon combat contre toute violence est que j’étais partie prenante de l’initiative en faveur d’une journée en mémoire de l’Holocauste, pour que nul n’oublie un tel massacre. Malheureusement, ceux qui m’on traité à tort d’antisémite n’ont jamais mentionné cette initiative de ma part, qui est une preuve indéniable de mon engagement contre les crimes des populations n’importe où, n’importe quand.
L’autre partie de votre question relative à l’islamophobie est, dans le contexte actuel, aussi bien sur le plan international que national, est effectivement et malheureusement néfaste à tout système politique dit démocratique. Je ne vous cache pas qu’une bonne part des critiques injustifiées et injustifiables me sont adressées car je suis la première candidate musulmane élue démocratiquement à ce poste.
Par contre, j’ai également reçu des félicitations et des encouragements suite à mon élection du fait que je suis issue d’une famille d’émigrés qui a pu suivre des études et arriver à ce poste.
En fait, ces critiques qui me taxent d’antisémite contredisent les règles d’élection du président de NUS qui existent depuis 94 ans ! Donc ces règles sont soudain apparues inacceptables parce qu’une musulmane les a suivies, appliquées et… a gagné.
Je voudrais, si vous me le permettez, citer mes parents qui m’on dit qu’une telle élection d’une émigrée serait impensable en France.
Que représente un syndicat étudiant de la dimension du NUS au Royaume-Uni ?
Le syndicat NUS est une force puissante dans le paysage politique au Royaume-Uni et se manifeste par son ampleur à travers les campus. Nous représentons 600 unions qui comptent plus de 90% des étudiants, soit à peu près 7 millions. Cette structure lutte contre toute forme de discrimination, d’injustice et d’exclusion ; elle défend les intérêts de tous les étudiants sans distinction de race, de couleur, de religion et n’est liée à aucun parti politique.
*Les syndicats estudiantins, comme d’ailleurs les autres organisations syndicales en Grande-Bretagne, s’impliquent dans le débat politique. Etes-vous convoités par des partis politiques pour un éventuel soutien pour les prochaines élections ?
Non. Nous défendons les intérêts des étudiants et nous ne leur demandons pas de voter pour tel ou tel parti. Chacun est libre de ses choix qui sont partie intégrante de leur vie privée.
*Les organisations estudiantines en Algérie sont faibles, confinées dans des problèmes socioéconomiques (transport, cantines, résidences U…).Certaines ne s’impliquent que pour soutenir et animer les campagnes électorales des candidats pro-pouvoir. Quels sont vos conseils à l’adresse des étudiants algériens afin de les hisser au rang qui leur sied ?
Je voudrais dire que le plus important est de créer un espace d’échange où les étudiants peuvent se rassembler et soulever les problèmes auxquels ils sont confrontés ainsi que ce qu’ils veulent changer afin de s’assurer que le campus soit vraiment un espace de responsabilisation, d’émancipation et de libération.
Il est important de réfléchir sur la structure que vous voulez adopter comme organisation estudiantine. Je ne dirais pas que créer l’équivalent de la NUS en Algérie est nécessairement la bonne réponse. Les espaces de l’activité politique doivent refléter et permettre les changements nécessaires dans l’environnement spécifique dans lequel vous agissez.
Il est également important de regarder en arrière, les mouvements estudiantins en Algérie et à travers l’Afrique, pour apprendre de ce qui a marché et ce qui a échoué. Notre pays a une grande histoire de lutte pour l’éducation juste et gratuite et nous devons nous assurer que cela reste au cœur de toute notre activité.
*Etes-vous disposée à nouer des relations, au nom de la NUS, avec les organisations estudiantines algériennes afin de les aider à mieux s’organiser ?
Réponse difficile à donner étant donné la multitude d’organisations estudiantines. Mais je serais heureuse de participer éventuellement à des débats sur le mouvement estudiantin.
Un dernier mot…
Je tiens à remercier El Watan de m’avoir donné l’occasion de m’adresser à vos lectrices et lecteurs et je souhaite à chacune et chacun de faire progresser la voix des étudiantes et étudiants.
Bio express
Née le 23 octobre 1987 à Norwich en Angleterre, dans un jeune couple d’étudiants algériens. Ses parents décident une année après sa naissance de revenir au pays. Malia Bouattia est inscrite, pour sa première année scolaire à l’école Pasteur d’El Kantara (Constantine).
En janvier 1995, ses parents décident de partir à cause du terrorisme et retournent s’installer au Royaume-Uni. «Elle ne connaissait pas un mot d’anglais et a souffert d’un choc culturel car elle ne voulait pas quitter son école. Elle était très aimée par sa maîtresse en Algérie ; elle était parmi les premières de la classe.
Longtemps elle a rédigé des lettres à sa maîtresse, ‘illa sayida Nini…’ et à la fin de la page, elle dessinait le drapeau algérien», se souvient sa maman, Latifa.
Au lycée, Malia choisit les langues étrangères et obtient son bac avec mention. Elle rejoint l’université de Birmingham où elle étudie la communication, la sociologie et le français.
Elle passe un an à Paris dans le cadre du programme Erasmus, puis obtient son BA First (major de promo). Puis elle s’inscrit pour un MPhil (mastère en philosophie).
Elle se spécialise dans les études postcoloniales, une branche de la sociologie tentant de déconstruire un discours hérité de la période colonial. Elle se bat activement pour la «décolonisation» de l’université.
Elle s’est notamment mobilisée dans le mouvement Rhodes Must Fall qui militait pour enlever la statue de Cecil Rhodes, homme d’affaires et fervent apôtre de l’impérialisme britannique, à l’université de Cape Town.
Le 20 avril 2016, Malia est élue présidente de l’Union nationale des étudiants britanniques.
**Zouheir Aït Mouhoub / el watan/ le 04.05.2016
Trois œuvres de la romancière et poétesse algérienne Ahlam Mosteghanemi traduites en anglais
La célèbre maison d’édition britannique Bloomsbury a publié la trilogie la plus lue de la romancière algérienne dans le Monde arabe. Ce projet, entamé il y a quatre ans, a abouti à la parution de The Bridge of Constantine (Dakiratou El Jassed), Chaos of Sens (Fawdha El Haoues) et The Dustof Promises (Aber Sarrir). La troisième et dernière œuvre est parue en mars et, à cette occasion, Regent’s university et Bloomsbury organiseront ce soir, en collaboration avec l’ambassade d’Algérie à Londres, une cérémonie en l’honneur de la romancière Ahlam Mosteghanemi qui procédera à la dédicace de ses romans traduits. A rappeler que ce n’est pas la première fois que des œuvres d’Ahlam Mosteghanemi sont traduites en langue anglais. En effet après avoir reçu le prix Nadjib Mahfoud en 1997 pour Mémoires de chair (Dakiratou El Jassed), l’université américaine a traduit ce roman ainsi que Le Chaos des sens (Fawdha El Haoues), mais l’auteur n’en a pas été satisfaite contrairement à sa collaboration avec Bloomsbury, a-t-elle confié à l’APS./ lundi 25 avril 2016
**La romancière algérienne Ahlam Mosteghanemi a été sollicitée pour devenir “Artiste de l’Unesco pour la paix” et son “Messager de la paix” pour une durée de deux ans, a-t-on appris de source de l’agence onusienne.
La directrice de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), Mme Irina Bokova, a invité la femme de lettres algérienne à associer étroitement ses activités à celles de l’organisation pendant toute la durée de ce mandat. Le choix de l’Unesco s’est porté, a ajouté la même source, sur une des romancières arabes les plus influentes et les plus vendues dans le monde, qui s’est distinguée par son travail en faveur des droits de la femme, du dialogue interculturel et de la lutte contre la violence.
Née en 1953 à Tunis, Ahlam Mosteghanemi se fait connaître d’abord en animant à la Radio nationale une émission quotidienne consacrée à la poésie, alors qu’elle est encore lycéenne. Elle a publié son premier recueil de poésie en langue arabe en 1973, Ala marfaâ al ayam (Au havre des jours). En 1982, elle obtiendra son doctorat en sociologie sur le thème de l’image de la femme dans la littérature algérienne à la Sorbonne. En 1993 alors qu’elle s’est déjà installée au Liban, elle publie Dhakirat el djassad (Mémoires de la chair), un roman à succès vendu à plus d’un million d’exemplaires et qui en est à sa 19e édition. Ahlam Mosteghanemi enchaînera alors les succès en publiant en 1997 Fawda el hawas (Le chaos des sens), Abir Sarir, en 2003 (Passant d’un lit) avant la sortie en 2012 de son dernier roman El asouad yalikou biki (Le noir te va si bien).
Lors de sa carrière, la romancière a reçu plusieurs prix prestigieux internationaux pour son œuvre dont le Prix Forbes Magazines de la femme écrivain arabe ayant le plus de succès et le Prix Naguib Mahfouz pour Dhakirat el djassad.
“Artiste pour la paix de l’Unesco” est une nomination accordée à une personnalité artistique reconnue, choisie par l’Unesco pour faire bénéficier l’organisation de sa renommée et diffuser les idéaux de l’Unesco, notamment à travers les médias.*APS / mardi 07 juin 2016
**la «Quatrième épouse»
-nouveau roman de Kaddour M’Hamsadji
Poursuivant sa réflexion sur la complexité et la richesse des rapports humains, l’écrivain Kaddour M’Hamsadji livre un nouveau roman, la «Quatrième épouse» dans lequel on retrouve la trame existentielle des précédents ouvrages, «Le silence des cendres» et «le Rêve derrière soi» auxquels il conviendrait également d’ajouter «La dévoilée». Comme un peintre méthodique et sourcilleux qui s’astreint à tracer, ligne après ligne, trait sur trait, au gré des mosaïques et des kaléidoscopes du coeur et de l’esprit, les itinéraires plus ou moins fantasques des personnages, hommes et femmes, confrontés aux aléas de leur propre destin.
M’Hamsadji relate la dimension oppressante des climats sociaux faits de mépris, de domination et surtout d’injustice. Domination et injustice qui forment le socle de cette oeuvre construite en quatre étages, à vrai dire des étapes circonstanciées et relatives: la première à la période coloniale, la seconde à la Révolution armée, la troisième à l’indépendance recouvrée et en fin la quatrième à l’Algérie contemporaine.
Livre du questionnement sur l’être et le paraître dans un pays confronté à des évènements dramatiques, au sens théâtral, la «Quatrième épouse» interroge en quatre temps quatre mouvements la personnalité de base d’ une société ni ancrée dans ses racines ancestrales ni arrimée aux exigences de la modernité, mais balançant au gré des vents contraires.
Et si l’homme est spolié de son héritage civilisationnel, la femme est, quant à elle, dépossédée de son essence et de cette eau vive sans laquelle la liberté ne saurait être vraie, ne pourrait être bien plus que factuelle.
Etrangement, la problématique qui jaillit de ce roman comme un feu follet concerne la lancinante question de la personnalité réappropriée sans laquelle il ne saurait être question d’une quelconque indépendance. «’La Quatrième épouse », avertit l’auteur dans un préambule, est le roman des rapports humains, plus largement entre la femme et l’homme, entre les femmes et les hommes, là où une âme est éprouvée par l’esprit systématique du mépris, de la domination et donc de l’injustice.» La question, dis-je, latente sur toutes les pages, mais si présente en quelques-unes concerne l’enjeu jamais avoué de la décolonisation des mentalités, toujours tributaires des complexes accumulés des décennies durant au point que chaque être ne parvient ni à s’affirmer ni à s’affranchir de leur carcan.
Et cela est aussi vrai pour les hommes que pour les femmes, avec cette différence que les femmes ont un double défi à affronter tant leur libération se joue à des niveaux autrement plus nombreux et combien davantage éprouvants.
Les indigènes d’hier sont les citoyens d’aujourd’hui, mais est-ce vraiment aussi simple et, surtout, est-ce aussi naturel qu’on veut bien le croire? Tous ceux et toutes celles qui ont été dépossédés de leur bien le plus précieux, de leur âme identitaire, ont une longue marche à entreprendre pour parvenir à retrouver le puits originel de leur personnalité authentique, par-delà la domination sous toutes ses formes et les injustices concomitantes.*Par Chaabane BENSACI - Jeudi 05 Mai 2016/ L’Expression
«La Quatrième épouse» de Kaddour M’Hamsadji. 380 pages. Casbah Editions
*Camille, une chrétienne qui découvre Ramadhan à Alger
un moment à vivre, un moment de communion avec mes amis musulmans.
*cliquer ici: Echos de Ramadhan
«Les Femmes d’Alger » de Picasso vendu 179 millions de dollars
Un tableau de Picasso est devenu lundi la toile la plus chère jamais vendue aux enchères, adjugé en onze minutes 179,36 millions de dollars (159,43 millions d’euros) chez Christie’s à New York. «Les Femmes d’Alger (version O)», est une toile peinte en 1955 par le maître espagnol Pablo Picasso.*cliquer ici: culture-médias-tous azimuts.1
*5.000 femmes dans les rues d’Alger pour le «running» Warrior
Samedi 07 mai 2016, 5000 femmes traverseront le centre-ville d’Alger en courant. La semaine prochaine, ils seront plusieurs milliers à courir, se jeter dans la boue, ramper sous les barbelés en participant au Run Warrior d’Alger, une course d’une dizaine de kilomètres avec des obstacles. Les adeptes de la course à pied, que l’on appelle aujourd’hui «running», sont de plus en plus nombreux, et le nombre de compétitions où ces sportifs peuvent se mesurer au chronomètre augmente aussi. *cliquer ici: Echos de la mer et de la Nature – 6
**Des centaines de femmes dans les rues d’Alger pour une course solidaire inédite
Des centaines de femmes ont envahi vendredi 6 mai le centre d’Alger pour une course inédite, bouleversant quelques heures l’ordre masculin qui règne habituellement dans les rues de la capitale. Cheveux au vent, casquette vissée sur la tête ou en foulard, elles se sont rassemblées au petit matin dans la rue Didouche Mourad, la principale artère d’Alger.
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Journée sans voiture ce vendredi 6 mai 2016 à Alger
**une grande partie de la voie sera coupée à la circulation, de 7h00 à 19h00 », « cela va du musée du Bardot à la Place des Martyrs, en passant par la rue Didouche-Mourad, le Boulevard Larbi-Ben-M’hidi et la rue Asselah-Hocine. les amateurs de rollers, vélos et trottinettes pourront s’y adonner avec joie, comme de coutume, tout au long des rues d’Alger-Centre. Une occasion est offerte aux Algérois de profiter au maximum de leur ville par la trêve de l’infernale circulation automobile. *cliquer ici: Echos de la mer et de la Nature – 6
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*photos et infos sur les : Randonnées au sommet du Murdjadjo-Oran
*Vidéos: Oran Bel Horizon1
*Vidéo: Oran Bel Horizon2
**Vidéo: Oran Bel Horizon3
*La veuve de Kadhafi autorisée à retourner en Libye après cinq années d’exil
Les autorités libyennes ont autorisé la veuve du l’ex dirigeant Kadhafi à retourner en Libye après cinq années d’exil, rapporte le quotidien britannique The Telegraph ce lundi 09 mai 2016. L’autorisation de retour de Safia Farkash Kadhafi, accordé il y a deux semaines déjà, s’inscrit dans le cadre d’un programme de réconciliation nationale initié suite à la formation d’un nouveau gouvernement d’union le mois dernier.
La veuve de l’ex-dirigeant libyen avait fui en 2011 la Libye en compagnie de sa fille Aïcha. Ces dernières avaient d’abord trouvé refuge en Algérie, puis au sultanat d’Oman. Depuis le 29 août 2011, elle s’était réfugiée en Algérie avec trois de ses enfants, dont sa fille Aïcha qui venaitt d’accoucher. L’Algérie leur avaitt accordé l’asile à titre humanitaire.
En autorisant le retour de Safia Farkash Kadhafi, les autorités libyennes ont pour objectif d’apaiser les tribus pro-Kadhafi alors que se prépare une bataille majeure pour reprendre la ville de Syrte des mains de l’Etat Islamique. Selon le Telegraph, l’autorisation de retour accordée à la veuve de Kadhafi a été accueillie de manière controversée en Libye, bien qu’elle n’ait été inculpée d’aucun accusation. source: tsa-algerie./ lundi 09 mai 2016
***Avec le colonel, Safia a eu une fille, Aïcha (37 ans), et six fils, Seif el-Islam (41 ans), Saadi (40 ans, réfugié au Niger), Mouatassim (mort avec son père), Hannibal (38 ans, en exil), Seif el-Arab (tué lors d’un bombardement de l’Otan, le 30 avril 2011) et Khamis (mort au combat en août 2011).
*Safia Farkash, ou Safia Farkash al-Baraasi, est une citoyennelibyenne, seconde épouse du dirigeant de la Jamahiriya arabe libyenne Mouammar Kadhafi et la mère de sept des enfants de ce dernier.
- Saïf al-Islam, (1972). Architecte-urbaniste de profession, il est docteur en philosophie de la London School of Economics et tient dans les années 2000 un rôle d’émissaire du régime de son père.
- Saadi, (1973), homme d’affaires et militaire. Ancien footballeur professionnel, il a occupé les postes de milieu offensif ou attaquant.
- Moatassem, (1975-2011). Colonel de l’armée, il est promu président du Conseil de sécurité nationale en 2007. Il meurt le même jour que son père.
- Hannibal, (1976). Il est médecin et militaire de formation et dirige la compagnie libyenne de transport maritime.
- Aïcha, (1976). Seule fille du couple, elle est avocate de profession et est profondément anti-américaine. Diplômée de l’université Paris-VII, elle défend Saddam Hussein en 2004. Elle dirige également la fondation caritative Waatassimou et est ambassadrice de bonne volonté du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD)
- Saïf al-Arab, (1982-2011). Peu de choses sont connues sur cet officier de l’armée libyenne. Il étudie en Allemagne, et meurt le 30 avril 2011 par des bombardements de l’OTAN, ainsi que trois petits-enfants de Mouammar Khadafi : Mastoura (âgée de 4 mois), Seïf et Carthage (tous deux âgés de 2 ans)3,6.
- Khamis, (1983) décédé en 2011 selon certaines sources. Après avoir suivi un entraînement militaire en Russie, Khamis prend la tête d’une unité des forces spéciales qui porte son nom.
Le couple a eu également deux enfants adoptifs, dont Hanna Kadhafi, tuée à l’âge de deux ans lors d’un raid américain nommé opération El Dorado Canyon contre Tripoli et Benghazi, sur la caserne de Bab al-Azizya, où vivent le couple et ses enfants fréquentée par des militaires américains, qui a coûté la vie à une personne de nationalité turque, et Milad Abouztaïa Kadhafi. Ce dernier aurait sauvé la vie du colonel Kadhafi en 1986 lors du bombardement ayant causé la mort à Hanna.
**Dans une lettre envoyée depuis Mascate (capitale du sultanat d’Oman, où elle vivait en exil), elle avait demandait les pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU et ceux de l’Union européenne de « dévoiler le lieu où se trouvent les dépouilles » de son défunt époux, de son fils Mouatassim et de leurs compagnons. Elle s’était adressée également à l’Union africaine (UA), dont dit-elle, « le martyr Mouammar était le fondateur », pour l’inciter à ouvrir une enquête sur les circonstances de son assassinat. Enfin, elle sollicitait l’aide des organisations des droits de l’homme afin de pouvoir entrer en contact avec un autre de ses fils, Seif el-Islam, détenu en Libye dans la ville de Zenten.
****Seconde épouse du « Guide », Safia est originaire de Cyrénaïque (est de la Libye), plus précisément de la ville d’El-Baïda, fief de sa tribu, les Baraassi. Toujours dans l’ombre du colonel, elle a fait preuve de discrétion durant toutes ses années de pouvoir. Effacée, se mêlant rarement de politique, cette infirmière de formation s’était lancée dans les affaires en prenant la tête de Bouraq Air, une compagnie aérienne qui s’était arrogé le monopole du transport des hadjis libyens pour le pèlerinage de La Mecque. Le reste du temps, la flotte de cette compagnie, qui se résumait à un seul Boeing 737, servait à ses déplacements. Mais, d’un naturel peu curieux, Safia n’a jamais sillonné la planète. En revanche, elle se déplaçait beaucoup à l’intérieur de la Libye. En 2008, elle réussit une performance peu banale : devenir la vice-présidente de l’Association des premières dames africaines. En exil, c’était jusque-là sa fille, Aïcha Kadhafi, qui jouait le rôle de porte-parole de la famille pour fustiger les nouveaux dirigeants de Tripoli de l’&poque et les traiter de « valets de l’Otan. »
*Née à El Beïda dans l’Est de la Libye, Safia Farkash est issue de la tribu al-Baraâssa. Infirmière de métier, elle rencontre Kadhafi pour la première fois alors que celui-ci est traité pour une appendicectomie à l’hôpital où elle travaille en 1971. Ils se marient la même année et conçoivent par la suite sept enfants, six garçons et une fille. Mouammar et Safia adoptent également deux enfants, Milad et Hana, mais cette dernière est tuée lors des bombardements de la résidence du dirigeant libyen en 1986, alors qu’elle n’est âgée que de quatre ans.
Durant les premières années de leur mariage, Farkash se fait discrète et apparaît rarement dans les médias. Cependant, durant les dernières années, elle a commencé à s’engager dans des activités sociales, comme lorsqu’elle s’est présentée à la graduation de la police féminine en 2010. Selon WikiLeaks, Farkash passe généralement inaperçue, au contraire de son mari.
À la suite de la chute du régime de Khadafi, des rumeurs prétendent que Safia Farkash serait en fait née Sofia Farkas ou Farkash, croate de Bosnie-Herzegovine originaire de Mostar ( Voir Safia Farkas de retour dans son pays d’origine). .
En août 2011, elle se réfugie en Algérie avec sa fille et deux de ses fils. En octobre, elle réclame une enquête de l’ONU pour éclaircir les circonstances de la mort de son époux. Elle réclame également les corps de son époux et de ses fils. *source; wikipedia.
Les Suisses sont les champions du monde du bonheur
Les Suisses sont les plus heureux du monde. C’est ce qu’affirme le dernier rapport sur le bonheur dans le monde. Le lien social est la clé, selon les experts qui l’ont rédigé. Le bonheur n’est pas seulement une question d’argent et d’espérance de vie, aux yeux des experts. La confiance dans les institutions et les entreprises et le soutien social sont aussi les éléments clés d’une société heureuse. L’Algérie occupe la 68e place selon cette étude.*cliquer ici:La chasse au bonheur
*Dans la même page:
*Les gens heureux sont plus généreux
*Le respect est la clé du bonheur, pas l’argent
*Le «bonheurisme»
*La science du bonheur
*Les nouvelles clés du bonheur
*Le bonheur est contagieux
**Laëtitia, 26 ans, master en psychologie…elle rejoint le monde agricole pour cultiver le safran.*cliquer ici: Métiers de l’agriculture
*Recharger son téléphone avec son tee-shirt, c’est pour bientot
SCIENCES — Des chercheurs sont en train de développer des tissus qui transforment la chaleur du corps en électricité
Après le jogging matinal, ce tee-shirt ne partira pas directement dans le panier à linge sale: grâce à ses fibres constituées de nanomatériaux, il pourra recharger un iPhone ou un lecteur MP3. Les chercheurs américains de l’université Wake Forest de Caroline du nord ont développé des fibres textiles composées de nanotubes en carbone, baptisées Power Felt.
S’assoir sur son téléphone pour le recharger
Si la mise sur le marché de tels vêtements n’est pas pour demain, Corey Hewitt, un étudiant qui travaille sur le projet, est optimiste: «Je pense que nous serons capables de faire une veste avec une doublure entièrement thermoélectrique qui cumulera l’énergie corporelle, tandis que l’extérieur restera froid, explique-t-il au Daily Mail. Si c’est efficace, cela pourrait permettre de recharger un iPod, ce qui serait très pratique pour les grands joggeurs!» Les chercheurs imaginent même que ce système pourrait être installé partout où de la chaleur est émise: autour de tuyaux d’isolation, sous des tuiles de toit, et même sous les fesses… «Juste en s’asseyant sur son téléphone», on pourrait le recharger expliquent les chercheurs. Peut-être verra-t-on bientôt des sièges de voiture capables d’alimenter une batterie électrique. L’université de Caroline du nord est déjà en discussion avec des investisseurs pour commercialiser le textile Power Felt. (20Minutes-24.02.2012.)
un diamant de 813 carats vendu pour 63 millions de dollars
La compagnie minière canadienne Lucara Diamond a annoncé lundi avoir vendu pour un prix record, 63 millions de dollars, un diamant de 813 carats, avant la vente attendue d’une autre pierre encore plus grosse.

Le record ne devrait cependant pas tenir longtemps, Lucara se préparant aux enchères d’un diamant de 1.109 carats, le 29 juin chez Sotheby’s à Londres. Cet autre diamant brut, appelé « Lesedi La Rona », a été découvert en novembre dans la même mine de Karowe. Il est le plus gros depuis le « Cullinan » de 3.106 carats exhumé en Afrique du Sud en 1905.En octobre, le « Blue Moon » (« Lune bleue »), diamant de 12,03 carats, avait atteint 48,4 millions de dollars, en raison de sa teinte bleu vif extrêmement rare. L’acheteur était le magnat hongkongais de l’immobilier Joseph Lau.* lundi 09 mai 2016 / Source: Belga
les cils arc-en-ciel, la nouvelle tendance make-up
Le « rainbow » est partout : sur les cheveux, les sourcils et maintenant les cils, vous allez voir la vie en couleurs !
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*Pour la première fois, une femme noire va figurer sur un billet américain
Pour la première fois, une femme noire, l’abolitionniste Harriet Tubman, va figurer sur un billet américain, a tranché le Trésor américain mercredi.
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