La réforme de l’école en marche
*Algérie: La réforme de l’école en marche
*Programmes scolaires revus en profondeur
*cliquer ici: Education-Enseignement
Dans la même page:
Mise en place de brouilleurs de communication au niveau des centres d’examens, pour prévenir la triche au Bac
–Profonds changements du baccalauréat en 2017
**L’examen de recrutement de quelque 28.000 enseignants pour les trois paliers (primaire-moyen-secondaire) aura lieu le 30 avril prochain et les résultats définitifs seront connus le 30 juin, a déclaré mercredi 23 mars, la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit.*voir la suite
***la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit reconnaît publiquement que le contenu de nos programmes scolaires est algérien… à 2 % ! Oui, uniquement 2 %
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*Houda Imene Feraoun
« Il n’a jamais été question d’ouvrir le capital de Mobilis
« Il n’a jamais été question d’ouvrir le capital de Mobilis, et cette question n’a jamais été à l’ordre du jour », a déclaré la ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Mme Houda Imene Feraoun au cours d’un point de presse en marge de la rencontre de la caravane nationale des micro- entreprises.
« Il y a eu toutefois une recommandation pour que Mobilis entre en bourse d’un petit pourcentage mais cette année ce n’est pas possible, mais plus tard si la nécessité s’impose » , a-t-elle précisé.
Pour le moment, « Mobilis a de gros défis à réaliser cette année à savoir le lancement
de la 4G ainsi que la continuité de la couverture de la 3 G.
Pour ce qui est de la question des transactions par mobile (m-paiement) et le payement électronique (e-paiement), la ministre a indiqué qu’ « on peut lancer le e-paiement et le m-paiement en même temps, rien ne l’empêche ». Mme Feraoun a fait remarquer que le payement par mobile est beaucoup plus facile surtout pour un pays vaste comme l’Algérie assurant que les deux modes de payement verront le jour très prochainement en Algérie.*Par Djamil Mesrer | jeudi 14/04/2016 | algerie1.com/
**Lila Borsali à la salle Ibn Khaldoun, vendredi 25 mars 2016 à 16h
L’établissement arts et culture de la wilaya d’Alger, vous donne rendez-vous avec la chanteuse tlemcénienne Lila Borsali qui montera sur les planches de la salle Ibn Khaldoun ce vendredi 25 mars à 16h. L’artiste animera un spectacle artistique dans le plus pur style andalou, genre musical cher à sa région natale et qui lui vaut tous ses galons de distinction et sa renommée au-delà de la Méditerranée. C’est aussi une occasion pour écouter son dernier album sorti en 2015 «Noubat houssn essalim», explique le communiqué de presse.*cliquer ici: musique andalouse..24 noubas
*Ahlam Mosteghanemi, présidente d’honneur du 11e festival International du film oriental de Genève
** du 11 au 17 avril 2016
La romancière algérienne Ahlam Mosteghanemi a été désignée présidente d’honneur du 11e festival International du film oriental de Genève qui se tiendra du 11 au 17 avril 2016, avons-nous appris auprès des organisateurs.
«Après la regrettée Edmonde Charles-Roux, ex-présidente de l’Académie Goncourt (2013), Tahar Ben Jelloun (2014) et Adonis (2015), le FIFOG est heureux de confier sa présidence d’honneur à la célèbre romancière algérienne Ahlam Mosteghanemi», a annoncé le service presse du Fifog dans un communiqué transmis à notre rédaction.
«La cuvée 2016 du festival célébrera la liberté sous toutes ses formes. Et choisir cette femme de lettres s’inscrit dans l’ordre naturel des choses puisque sa plume est l’une des plus libres du monde musulman. Aussi, sa créativité et sa liberté épousent l’esprit du Fifog, qui veut montrer un orient riche et diversifié, promouvoir le dialogue interculturel et rapprocher l’orient de l’occident en repoussant les frontières de l’ignorance», ajoute la même source.
Pour les organisateurs du ce festival, avec ce choix, il s’agit aussi de mettre en valeur l’apport inestimable des femmes dans les sociétés des pays d’Orient. «L’univers du cinéma n’est pas étranger à cette écrivaine, qui a côtoyé de grands cinéastes, dont Youssef Chahine. Juste avant sa mort, ce dernier avait acheté les droits du roman Mémoires de la chair, œuvre d’Ahlam Mosteghanemi, qui donna le vertige au poète Nizar Qabbani», conclut le communiqué.*Ahcène Tahraoui/ el watan/ dimanche 27 mars 2016
** Rabéa Djelti présente son dernier roman intitulé Hanine bi naânaâ (Nostalgie à la menthe).
A la faveur de la tenue de la première édition du Printemps culturel, l’écrivaine et poétesse algérienne a présenté, jeudi dernier, au niveau de l’esplanade de Riad El Feth, son dernier roman intitulé Hanine bi naânaâ (Nostalgie à la menthe).
A la fois poétesse, écrivaine, traductrice et philosophe, Rabéa Djelti est revenue, avec toute la modestie qu’on lui connaît, sur la trame de son dernier roman. Ce roman a été finalisé au bout de deux ans d’écriture. Rabéa Djelti indique qu’elle s’est toujours inspirée de ses voyages et de ses rencontres multiples avec l’autre pour écrire ses romans.
Sa dernière publication, Nostalgie à la menthe — disponible au Liban et en Algérie (El Ikhtilef) —, met l’accent sur une histoire qui se passe à Oran, à Paris et à Damas. Ces trois villes qui se conjuguent dans son roman sont en fait les vraies escales de la vie de Rabéa Djelti en tant qu’étudiante, poétesse, professeur et être humain. «Dans ces trois villes où j’ai vécu, dit-elle, j’ai vu beaucoup de choses. J’ai vécu, par exemple, à Oran durant la décennie noire, à Damas pendant la guerre, et également à Paris.»
Le personnage principal de Nostalgie à la menthe est Dhaouia. Une jeune fille à la beauté impressionnante. Un beau jour, elle se rend compte qu’elle a des ailes. Ces dernières poussent à vue d’œil. Sa grand-mère Nouha se rend compte très vite du changement physique de sa petite-fille.
Quelque chose de grave va arriver sur Terre. Cette dernière va être engloutie par l’eau. Dans son roman, Rabéa Djelti indique que tout le monde va mourir. «Sauf qu’il y a un sixième continent qui est quelque part entre les astres où se retrouvent intellectuels, musiciens, physiciens et scientifiques, tels que Beethoven, Mozart, Socrate et Platon. Ces cerveaux qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes se retrouvent dans ce sixième continent que personne ne voit, sauf Dhaouia». Ces personnes qui évoluent dans ce sixième continent sont tous ailés.
Après que la Terre ait été engloutie par l’eau, elle va tourner à une vitesse exponentielle jusqu’à ne plus s’arrêter. Par la suite, ce sixième continent va descendre sur la nouvelle Terre. La démarche de Rabéa Djelti repose sur le fait que c’est le cerveau qui va aider la Terre à surpasser ce que l’on vit maintenant. Elle explique d’ailleurs, devant l’assistance nombreuse, qu’elle est peinée, en tant qu’être humain, de tout se qui se passe actuellement dans le monde. Son roman traduit tout ce malheur, et ce, à travers les haltes qu’elle a effectuées dans les trois villes phares qu’elle a eu à découvrir et à connaître.
Ces trois escales ont été un prétexte pour venir raconter la tourmente de l’auteure.
Dans ce roman, Rabéa Djelti note qu’on retrouve tout ce qui s’est passé à Paris et à Bruxelles. «A chaque fois qu’il y a des choses horribles qui se passent, je me dis mais pourquoi ils ne sont pas visionnaires. Dans le roman, il y a le vécu et l’imaginaire. Mais l’imaginaire est tissé à partir de la matière réelle», argue-t-elle.
Pourquoi ne pas parler de ces trois villes, sachant qu’Oran a vu naître Rabéa Djelti. Une ville aussi où elle a failli mourir également durant la décennie noire. «Il y a des choses, ajoute-t-elle, qu’on ne peut pas oublier et qu’on ne peut pas garder au chaud. Cette ville reflète ma personnalité, ma famille, ma vie, mon existence sur Terre. A Damas, j’ai vu des gens extraordinaires. J’ai vu comment les communautés vivaient entre elles dans la joie et l’entente. J’ai été subjuguée par ce genre de vie à Damas, où je suis restée six ans pour mon magister et mon doctorat.»
Par ailleurs, profitant de cette rencontre littéraire, Rabéa Djelti a révélé que la langue arabe est actuellement en difficulté. Elle pourrait même mourir. «On croit, dit-elle, que la langue arabe est vénérée alors qu’on ne vénère pas une langue. Il faut qu’elle soit à l’image de toutes les autres langues.
Elle doit descendre dans la rue. De plus, la langue arabe ne pourra jamais être irriguée, sauf si celui qui l’écrit doit parler d’autres langues. La langue arabe est en danger. Il faut que les intellectuels, ceux qui utilisent cette langue aient une autre langue pour lire et s’instruire. La langue arabe semble être enfermée dans cave. Il faut la laisser s’aérer et se moderniser.»
Il est à noter que Nostalgie à la menthe sera disponible en langue française d’ici la fin de l’année 2016.*Nacima Chabani / el watan/ samedi 26 mars 2016
Majda Roumi, une nouvelle fois, en concert en Algérie
Après s’être produite mercredi 13 avril 2016 à la salle Ahmed Bey de Constantine, la diva de la chanson romantique arabe, Majda Roumi, sera en concert à partir de 19 heures, vendredi à Alger, au niveau de la salle Atlas de Bab El Oued.
*** Un événement culturel attendu par tous les fans algériens de l’interprète libanaise qui entretient une relation spéciale avec notre pays où elle n’avait pas hésité en 1997 en pleine période de terrorisme et d’attentats à donner un spectacle unique en son genre. La star, qui a une haute maîtrise du chant arabe dans toute sa splendeur, est connue pour sa voix douce diffuée souvent sur les chaînes de radios pour la beauté de ses sonorités quasi majestueuses. On expliquera jamais assez pourquoi les algériens l’ont définitivement adoptée tant elle sait attirer les foules avec son visage angélique. Née le 13 décembre 1956 dans la ville de Kfarashima au Liban, elle grandi dans un univers musical propice à la chanson puisque son père était un célèbre musicien. Dès son âge, Majda qui a une bonne oreille musicale veut s’orienter vers la chanson en écoutant les voix splendides du répertoire arabe que sont Abdelhalim Hafed, Fairuz et Oum kaltoum. Sa famille et ses voisins l’écoutaient chanter en s’émerveillant au timbre de sa voix magique qui séduit par tout son talent la gent féminine algérienne. Après des études de littérature arabe et son mariage avec l’homme d’affaires Antoine, qui devient son manager, et avec lequel elle aura deux filles, elle sort son premier album qui la fera connaitre mondialement avec notamment huit titres inoubliables que ses admirateurs fredonnent à ce jour. Elle chante dans de nombreux festivals arabes comme les musiques sacrées du monde de Fès, Carthage et l’opéra du Caire. Majda est surtout connue pour avoir chanté les poèmes écrits par le poète syrien Nizar Qabbani avec lequel, elle débute en 1990. Ces poèmes, d’un lyrisme indescriptible, intitulés « Kalimat », « Beyrouth Sit El Dunia » et « Tawaq Al Yasmin » lui confèrent le statut d’idole à la voix exceptionnelle qui lui a fait gagner l’amour du public. Elle a chanté dans un film de Youcef Chahine, c’est une femme engagée pour les causes justes et lutte contre la pauvreté en devenant l’ambassadrice des Nations unies. Majda Roumi ? Un spectacle assurément à ne pas rater !**L. Graba / el moudjahed/ jeudi 14 avril 2016
**La beauté des mots dépend de l’éclat des sentiments
Le langage spécifique des “chatteurs” en ligne
*cliquer ici: La beauté des mots
*dans la même page:
La langue des chatteurs, c’est quoi ?
Règles et langages des communautés
**la nétiquette
L’ambassadrice américaine Joan A. Polaschik à Constantine
Mme Polaschik s’est dite particulièrement «frappée par le niveau de la culture en Algérie». «L’Algérie joue un rôle très important dans la promotion de la sécurité régionale, nous sommes très reconnaissants sur tout ce que l’Algérie fait, notamment pour avoir négocié les accords du Mali et l’Algérie a tenu à poursuivre ce processus de paix car l’Algérie est dirigeante.» Ce sont là, les propos de l’ambassadrice américaine Joan A. Polaschik qui a animé hier une conférence de presse à l’hôtel Marriott, à Constantine. Venue dans la capitale de l’est du pays pour vanter la diversité culturelle de son pays, Mme Polaschik s’est également exprimé sur la situation qui prévaut dans la région et les attentes des USA par rapport au poids de l’Algérie en tant que puissance régionale. «L’Algérie joue aussi un rôle très important en Libye. Elle a soutenu le processus de paix de l’ONU. Il existe des échanges entre les USA et l’Algérie sur la situation en Libye, sur notamment les perspectives à développer sur cette question», a-t-elle indiqué, visiblement convaincue du rôle stabilisateur de l’Algérie.
Abordant le sujet de la crise financière, la diplomate estime en affirmant «Hamdoulillah, jusqu’à maintenant il n’y a pas encore de crise économique, car l’Algérie dispose toujours d’importantes réserves», mais admet-elle, «avec la chute du prix du pétrole, il est nécessairement important de diversifier l’économie». C’est par un souci d’amitié que la diplomate dit faire cette déclaration comme elle l’affirme, insinuant que ses propos ne doivent pas être interprétés comme une ingérence dans la gestion économique du pays. Et d’ajouter qu’en tant que partenaire des USA, il est important que l’Algérie reste un pays prospère et stable, insistant sur le fait que l’Algérie est un pays avec d’énormes potentialités qui peuvent être exploitées dans divers domaines économiques. Sur la question des relations bilatérales, Mme Polaschik s’est empressée de démentir l’information faisant état de la visite de John Kerry en Algérie, soulignant que cette visite n’a pas fait l’objet d’une annonce de sa part. «Dès qu’il est question d’une visite d’un officiel américain, je donnerai l’information», a-t-elle souligné. Quant au sujet qui l’a mené à Constantine, elle a estimé que les Etats-Unis d’Amérique ne pouvaient pas ignorer l’opportunité de la manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe» pour exposer la splendeur de leur culture. Ensemble les deux pays vont nous faire voyager le long d’un pont qui liera à jamais deux sociétés qui, malgré la distance géographique qui les sépare, ont réussi à construire des liens d’amitié et des relations singulières. C’est dans ce cadre que l’ambassadrice a justement animé sa conférence de presse. Assistée par des invités qui prendront part aux activités de la semaine culturelle des USA à Constantine, à savoir Bart Douglas artiste au sein du groupe musical Circular Time et Devon A., responsable du Musée national arabe aux USA, l’ambassadrice était là pour faire la promotion des rapports culturels et scientifiques entre les deux pays. Des rapports qu’elle qualifie de très bons, tout en notant qu’elle est particulièrement «frappée par le niveau de la culture en Algérie». Mme Polaschik ne manquera pas de brosser un tableau sur le programme qui sera élaboré dès demain et jusqu’au 28 du mois courant, mettant l’accent sur «l’importance de cette manifestation qui est une alternative pour rapprocher davantage les deux pays, voire les deux continents». Pour elle, «c’est ce genre d’initiative qui renforce les liens entre les peuples, qui forge les mentalités et qui mûrit l’éducation et l’instruction de l’être humain». L’ambassadrice souligne que 350 Algériens sont partis aux USA dans le cadre d’un échange culturel et scientifique, mais aussi que les USA sont présents en Algérie avec 23 écoles pour enseigner l’anglais. Même si elle reconnaît un manque de présence à Constantine, elle convient, cependant que la volonté affichée des deux pays oeuvre à renforcer les liens qui ont atteint un niveau important dans l’échange. Pour la conférencière, Algériens et Américains vont se donner la chance d’apprendre plus, l’un sur l’autre durant ces journées, en un mot, une aubaine d’échanges et de rapprochement.*Par Ikram GHIOUA - Jeudi 24 Mars 2016 / L’Expression
*L’ambassadrice de la Finlande en Algérie, à Sidi Bel-Abbès
L’ambassadrice de la Finlande en Algérie, Tuula Svinhfvud, s’est félicitée, mercredi à Sidi Bel-Abbès, des résultats du partenariat entre le Complexe de machines agricoles (CMA) et l’entreprise Finlandaise SAMPO dans le domaine de la production des moissonneuses-batteuses adaptées aux besoins des agriculteurs.
« Ce projet industriel commun constitue un exemple de coopération gagnant-gagnant entre les deux pays et ouvre la voie à d’autres projets dans d’autres domaines », a souligné la diplomate finlandaise, en visite dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, où elle a été reçue par les autorités locales. Mme Svinhfvud a rencontré des opérateurs économiques de la wilaya à qui elle a réaffirmé la volonté de son pays de renforcer la coopération bilatérale, notamment par le jumelage entre les chambres du commerce et de l’industrie des deux pays.
La diplomate finlandaise s’est montrée très intéressée par les potentialités de la wilaya de Sidi Bel-Abbès en matière d’industrie électronique, créneau pouvant être développé dans le cadre du partenariat bilatéral, a-t-elle dit. Cette visite a permis à Mme Svinhfvud de rencontrer les gérants de PME activant dans la wilaya, à l’instar de celles spécialisées dans la fibre optique. La diplomate a évoqué la possibilité d’établir un partenariat dans ce domaine. (Aps)– 23/03/2016
un débat sur la mode islamique en France, fait rage depuis quelques semaines
*Madame Geneviève de Fontenay soutient la mode islamique
»Ces tenues sont très classe et me conviendraient bien »
**voir vidéo la mode islamique est très classe
En France, un débat sur la mode islamique fait rage depuis quelques semaines, porté par les islamophobes à l’instar de la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, Laurence Rossignol qui a dénoncé sur BFM TV, les marques comme H&M, Uniqlo ou Dolce & Gabbana qui lancent tour à tour des collections de vêtements dits « islamiques ».*cliquer ici: Le hijab.2
un projet de taxis réservés aux femmes fait un tabac aux Etats-Unis
Des taxis conduits par des femmes et réservés aux femmes et aux enfants, le projet de l’Américain Michael Pelletz a suscité une telle demande que cet ancien chauffeur de VTC a décidé de repousser la date de lancement. Chariot For Women, le nom de cette jeune société entièrement financée par son fondateur et des proches, devait initialement entrer en service mardi.
7.000 femmes candidates
Elle s’appuie, en grande partie, sur la méfiance de certaines femmes envers les taxis et les VTC, nourrie par plusieurs affaires d’agressions sexuelles par des chauffeurs hommes. Son fondateur souhaitait rassembler, dans un premier temps, un fichier de mille conductrices potentielles dans l’Etat du Massachusetts (nord-est). Elles auraient utilisé leur véhicule personnel pour convoyer femmes et enfants, sur demande. Mais sans avoir dépensé un centime en publicité, ce sont pas moins de 7.000 femmes candidates qui l’ont contacté ces quatre derniers jours pour devenir chauffeurs de sa société.
Les mêmes tarifs que Uber
« Si nous nous lançons le 19 avril, nous allons avoir des centaines de milliers de personnes qui voudront utiliser notre application. (…) Je ne veux pas laisser tomber qui que ce soit en laissant l’application planter », a expliqué vendredi Michael Pelletz, basé à Boston, cité par l’agence AFP. Dès lors, « nous allons repousser (le lancement) de quelques mois, juste pour être sûrs », a-t-il annoncé, sans être plus précis. Pour Boston où devait être lancé le service, les tarifs sont peu ou prou les mêmes que ceux d’Uber et Lyft, les deux géants des voitures de transport avec chauffeur (VTC), et sans tarification progressive, comme chez Uber.
« Assurer la sécurité des femmes et des enfants »
Les taxis roses, ces voitures de transport conduites par et pour des femmes, ne cessent de gagner en popularité à travers la planète. Depuis leur apparition à Londres il y a cinq ans, ils ont fait des petits à Dubaï, Puebla, Beyrouth, au Caire…
À Londres, les premiers Pink Cabs
Un jour de 2005, deux mères de famille britanniques ont décidé que leurs adolescentes seraient dorénavant en sécurité dans les taxis. C’est à elles que l’on doit les premiers Pink Cabs. Il faut dire que dans la métropole anglaise, une dizaine de femmes sont agressées mensuellement par des pseudo-chauffeurs. Depuis, les mythiques taxis noirs «british» aux allures rétro ont de la concurrence : celle des petites Renault Kangoo peintes en rose éclatant avec, à leur bord, que des femmes.
Puebla : Taxis Rosas
Avec ses 1,5 million d’habitants, Puebla est la 4e ville en importance au Mexique. À quelques kilomètres de là, dans la capitale, Mexico, on enregistrait en 2008, 87 viols de femmes, commis par des chauffeurs de taxi. Et ça, ce sont uniquement les viols déclarés. Les Taxis Rosas ont donc fait leur apparition il y a près de deux ans à Puebla. Ils sont munis d’un système de navigation, d’un bouton d’a ler te sous le volant qui communique directement avec la police et d’un terminal bancaire. Avec moins de dineros à bord, on réduit les risques d’agression pour vol. Ces Taxis Rosas connaissent un succès retentissant, même s’ils chargent 10 % plus cher qu’une course classique. Non seulement les clientes s’y sentent en sécurité, mais elles aiment ne plus être exposées au harcèlement sexuel des chauffeurs masculins.
Au Moyen-Orient : malgré les critiques…
C’est au Moyen-Orient que les Pink Taxis font plus de petits qu’ailleurs : au Caire (photo), à Téhéran… Même Beyrouth, la capitale du Liban, a ses Taxis Banat (taxis pour femmes). Au départ, la directrice de ce dernier service, Nawal Yaghi Fakhri, a cru qu’il lui serait difficile de recruter des employées. Après tout, peu de femmes conduisent au Liban. Surprise : les demandes ont afflué! Une belle façon de créer de l’emploi. Dans un pays où la principale religion limite beaucoup les femmes, les critiques ont évidemment afflué. Mme Fakhri a dû défendre son entreprise dans Le Monde : «Des taxis roses, il devrait y en avoir dans le monde entier!» s’est-elle indignée.
Nanous sur quatre roues… et plus encore
Dans le monde entier ? Pas encore, mais l’idée fait son chemin. À Moscou, les taxis roses se transforment, lorsque nécessaire, en «auto-nanous» afin de ramener les petits de l’école. Besoin de faire livrer des fleurs ou des médicaments? Pas de problème, les taxis roses sont là. À Mumbai et New Delhi, en Inde, les taxis For-She ne sont peut-être pas roses (ils sont argent et blancs), mais ils disposent de grands miroirs, ainsi que de trousses à manucure, question que ces dames joignent l’utile à l’agréable. À grands coups de stéréotypes? Peut-être… Mais les femmes adorent.
On critique, mais…
À Puebla, les Taxis Rosas ont soulevé des désaccords. Pour certains, l’initiative renforce l’idée que la femme est vulnérable et qu’elle a besoin de protection, alors que d’autres désapprouvent ce qu’ils jugent discriminatoires, à une époque où les femmes elles-mêmes luttent pour l’égalité des sexes. Beaucoup d’hom mes avouent cepen dant qu’ils aiment bien savoir leur con jointe, leur soeur ou leur mère en sécurité dans un Taxi Rosa.(Avec agences)–Par Djamil Mesrer | 16/04/2016 | algerie1.com/
Démission d’une ministre dont le compagnon est mis en cause par la justice
La ministre italienne du Développement économique, Federica Guidi, a annoncé jeudi avoir remis sa démission, alors que son compagnon est mis en cause par la justice pour trafic d’influence, selon les médias italiens.
« Cher Matteo, je suis absolument certaine de ma bonne foi et de la justesse de mon action. Je crois néanmoins nécessaire, pour une question d’opportunité politique, de remettre ma démission en tant que ministre », écrit-t-elle dans un communiqué, dans lequel elle s’adresse au chef du gouvernement italien, Matteo Renzi.
Le compagnon de la ministre, Gianluca Gemelli, a été mis en cause par le procureur de Potenza pour corruption et trafic illicite d’influence, selon plusieurs médias italiens, qui citent le même rapport d’enquête. Cet entrepreneur, qui travaille dans le domaine pétrolier, est soupçonné d’avoir profité de la relation de proximité qu’il avait avec la ministre du Développement économique pour favoriser les intérêts du groupe pétrolier français Total en Italie, en échange d’une promesse de collaboration entre sa propre entreprise et Total, selon ce rapport d’enquêtes.
La découverte de ce trafic d’influence supposé, révélé notamment grâce à des écoutes téléphoniques, a été faite lors d’une enquête concernant un trafic de déchets dangereux dans la région de la Basilicate (sud).
Le groupe pétrolier italien Eni a ainsi annoncé jeudi, dans un communiqué, avoir suspendu la production de son site d’hydrocarbures du Val d’Agri, où plusieurs de ses employés – six selon la presse italienne – ont été arrêtés dans le cadre de cette enquête. Eni a promis sa coopération maximale avec la justice, après avoir suspendu la production à Val d’Agri (75.00 barils par jour) et assuré avoir aussi ouvert une enquête interne.*AFP/ 31 mars 2016
Meryem Benallal: Interprète de musique andalouse à Tlemcen
Architecte de profession, elle intègre l’association musicale Awtar Tilimcen à l’âge de 10 ans où elle s’initie à la mandoline et perfectionne ses performances vocales. Elle apprend alors la nouba, le hawzi, laaroubi, le madih et les différents modes et istikhbarate. Meryem Benallal entre vraiment dans le monde de la musique en 1998 et anime plusieurs concerts en Algérie et à l’étranger, notamment au Maroc. «Mon but est de promouvoir la musique andalouse et de préserver ce patrimoine», dit-elle.
*Le 6 avril, vous organiserez un concert caritatif au profit des enfants autistes, une frange de la société qui souffre dans le silence. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
—Je suis marraine et membre de l’Association autisme Tlemcen (AAT) depuis 2013. C’est un centre créé par la seule volonté de parents d’enfants autistes qui accueille les enfants malades et leur assure un suivi quotidien par des psychologues et toute une équipe d’éducatrices spécialisées et formées en autisme. Il assure aussi des formations aux parents afin de leur permettre de gérer le quotidien et les émotions de leurs enfants. L’AAT fonctionne essentiellement par des dons.
Le 6 avril 2016 à 19h, au palais de la culture Abdelkrim Dali, je donnerai un récital avec l’artiste Hamidou qui nous a fait l’honneur d’accepter notre invitation et de chanter bénévolement pour ces petits anges. Nous serons accompagnés par un grand orchestre composé de musiciens talentueux et bénévoles de Tlemcen sous la direction artistique du chef d’orchestre Kara Djawad. J’invite tout le monde à assister à cet unique rendez-vous culturel, une soirée qui allie plaisir et générosité et je vous encourage tous à venir soutenir l’association Autisme Tlemcen par des dons et nous aider à continuer à mener notre combat face à l’autisme.
*Vous êtes une interprète qui peut passer d’un genre à un autre aisément. Mais n’êtes-vous pas sous-médiatisée par rapport à votre talent, vos engagements ? Ressentez-vous une sorte d’injustice de la part des organisateurs, des médias ?
—Il n’y avait que la télé et la radio à être très difficiles d’accès. Il fallait attendre d’être invitée pour faire un passage artistique, et c’était très rare ! A noter, aussi, que le style musical andalou n’était pas à son top à cette période-là. Moi et d’autres artistes de ma génération avions résisté en continuant à chanter l’andalou et contribuer à le promouvoir.
Aujourd’hui, les réseaux sociaux font la majorité du travail, les gens sont mieux informés et l’artiste est en contact permanent avec son public. Oui, à un moment donné, j’ai senti une injustice, une sous médiatisation par rapport à mon talent et mes engagements. Mais, cela est dû peut-être au fait que je suis loin de la concentration médiatique à Alger.
Ce n’est pas toutes les émissions télé et radio qui peuvent prendre tout un orchestre en charge. En plus, je me suis absentée un petit moment de la scène pour des raisons de maternité. Cependant, le problème majeur est celui des maisons d’édition qui ne font pas l’effort de médiatiser et de promouvoir leurs produits.
C’est pour cette raison qu’on a décidé, mon mari et moi, de prendre en charge ce problème en ayant notre propre maison de disques et en assurant la promotion du produit de la manière la plus appropriée qui soit. Comme le dit le proverbe «on n’est jamais mieux servi que par soi-même». Quant à ma polyvalence, cela reste un signe de performance, de connaissance et de maîtrise de l’art de la scène, et le meilleur moyen de toucher un plus grand nombre de public.
*Des projets ?
—Je suis en phase finale d’enregistrement de mon prochain album qui sortira à la fin du printemps si tout se passe bien. Je réserve une belle surprise aux amateurs de musique andalouse et surtout aux mélomanes. D’autres albums suivront avec une poésie et une mélodie inédites.
Oui, je me suis découvert un autre talent : écrire mes propres chansons, traduire d’une manière fidèle mes émotions et les messages que je voudrais faire passer à mon public. On essayera, mon mari et moi, d’allier conservation et composition, mais dans les règles de l’art de la musique andalouse, car on ne peut se permettre de trop s’égarer des principes auxquels obéit cette musique qui, il faut le dire, a survécu des siècles, qui vivra toujours et qui a toute l’étoffe d’une musique classique internationale.*Chahredine Berriah / el watan/ mercredi 30 mars 2016
**Foot féminin
Cinq championnes du monde américaines, dont les vedettes Carli Lloyd et Hope Solo, attaquent leur Fédération de foot devant la justice civile pour discrimination salariale, dénonçant l’écart de traitements avec leurs collègues hommes.
Les joueurs de l’équipe masculine, eux, ne reçoivent pas de salaire de base mais touchent, au minimum, 5.000 dollars par match amical et jusqu’à 17.625 dollars en cas de succès contre une équipe de premier plan.*cliquer ici: Femmes et foot
**Une jeune femme de 25 ans qui se croyait enceinte de triplés a en réalité mis au monde cinq bébés dans un hôpital d’Ambikapur, dans l’Etat de Chhattisgarh, en Inde.*cliquer ici: Jumeaux, triplés et autres
*dans la même pages:
Histoires de tripkés et de Quintuplés
**L’islamophobie de San Suu Kyi
*La détentrice du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi s’est emportée après avoir été interviewée par une journaliste « musulmane » qui l’avait interrogée sur les violences antimusulmanes en Birmanie, affirme un biographe. Selon lui, la « dame de Rangoun » a déclaré hors caméra, après un échange houleux avec une présentatrice britannique de la BBC, Mishal Husain, en octobre 2013: « Personne ne m’a dit que j’allais être interviewée par une musulmane ». On se demande si elle mérite vraiment ce Prix Nobel. La scène est racontée par Peter Popham, auteur d’une récente biographie, « The Lady and The Generals, Aung San Suu Kyi and Burma’s Struggle for Freedom » (« La dame et les généraux, Aung San Suu Kyi et la lutte de la Birmanie pour la liberté, non traduit). *médias/ Samedi 26 Mars 2016
*Le génocide des Musulmans en Birmanie et le silence complice de San Suu Kyi et de la communauté internationale
*nettoyage ethnique » contre la minorité musulmane dans cette région de l’ouest de la Birmanie, accuse lundi Human Rights Watch (HRW), qui parle de « crimes contre l’humanité ». Les services de sécurité sont restés passifs et ont dans certains cas participé, lorsque des bouddhistes se sont mis à tuer hommes, femmes et enfants en juin et en octobre 2012, affirme HRW, organisation de défense des droits de l’homme basée à New York. Comment, devant ces crimes, réagit « la communauté internationale ». L’Union européenne a levé toutes les sanctions prises contre la Birmanie, sauf l’embargo sur les armes, malgré un rapport de Human Rights Watch accusant les autorités de Rangoon de complicité dans le massacre de musulmans dans l’ouest du pays.*médias +(Reuters, L. 22 avril 2013,**La question (depuis longtemps) n’est plus : « Pourquoi les double-décimètre des droits de l’homme, de l’humanitarisme et de la démocratie soutiennent-ils des dictatures criminelles au moment même où elles prétendent les anéantir (en Libye, Syrie, Irak, Somalie, Soudan…)*La question pourrait être (mais n’est pas) : « Que font donc ces pseudo-puissances islamiques rayonnantes d’intelligence hydrocaburo-dépendant– le Qatar, l’Arabie Saoudite…- pour se dresser face à ces crimes qui concernent leurs propres coreligionnaires et consentent-elles à se placer aux côtés de puissances occidentales cyniques.
**La Birmanie massacre ses concitoyens musulmans, l’Europe soutient, et les médias regardent ailleurs!
**cliquer ici: Birmanie.Les musulmans les plus persécutés du monde
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